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Comme le précise l’Anchorage Daily News, les scientifiques ne connaissent pour le moment ni la cause ni la signification de ces symptômes. Les échantillons de sang et de peau prélevés doivent encore être étudiés. Toutefois, “notre série de données porte à croire qu’il s’agit d’une situation inhabituelle, mais pas sans précédent”, a expliqué Tony DeGange qui souligne que dix des 48 ours examinés par l’équipe en 1998-1999 souffraient des mêmes problèmes. “Nous avons effectué des biopsies en 1999 et nous n’avons pas pu établir un agent déclencheur pour la perte de fourrure à l’époque”, a indiqué le responsable du bureau de biologie au Centre scientifique de l’USGS.
“Mais nous avons désormais ces taux de mortalité inexpliqués chez les phoques. Et nous n’avons pas davantage été capables de déterminer ce qui a causé la mort de ces phoques. Est-ce seulement une coïncidence, ou les deux phénomènes sont-ils reliés? Nous ne le savons pas”, a encore ajouté le spécialiste cité par Francesoir.fr.