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Cette rencontre qui avait pour thème à débattre «La parité pour un monde 50/50 à l’horizon 2030» a vu la présence des deux représentantes ittihadies Khaddouj Slassi, membre du Bureau politique et secrétaire nationale de l’OSFI (Organisation socialiste des femmes ittihadies) et Naziha Abakrim, également membre du BP de l’USFP.
Prenant la parole, Khaddouj Slassi n’a pas manqué de rappeler le rôle joué par l’USFP qui, de tout temps, avait soutenu les mouvements de libération vrais et légitimes à travers le monde, tenant à ce propos à rendre un hommage à la mémoire du martyr ittihadi Mehdi Ben Barka qui avait été un fervent défenseur des causes de libération et d’indépendance.
Un rappel fait pour répondre à la soi-disant représentante du Polisario qui s’en était prise dans son intervention, de façon gauche et inappropriée, à l’Internationale socialiste et à l’Organisation socialiste des femmes ittihadies, qui, selon des propos dénués de toute logique, avait instauré un secrétariat régional dans la ville de Laâyoune.
Après avoir rappelé le contexte historique ayant conduit à la création du Polisario, les étapes franchies par notre cause nationale en plus du retour fort du Maroc à l’UA, sa place naturelle, la secrétaire nationale de l’OSFI a souligné que le cadre idéal pour la résolution de ce conflit reste l’ONU en présence de l’ensemble des parties prenantes, et ce à partir de la proposition marocaine d’autonomie.
Khaddouj Slassi a tenu aussi à souligner que l’un des grands défis du Maroc et de l’USFP est l’édification du Grand Maghreb, puisqu’il s’agit de l’ère des blocs géostratégiques en vue d’assurer un développement des pays de la région, de faire face aux multiples aspects de pauvreté et de chômage, d’améliorer la situation des droits de l’Homme, de consolider les efforts afin de contrer toutes les formes d’extrémisme, de terrorisme, de violence et d’exclusion sociale dont souffre une grande frange de la population maghrébine, particulièrement les femmes.
Khaddouj Slassi a affirmé que le Maroc croit en sa cause juste et légale, de même qu’il reste ouvert au dialogue dans le cadre du respect total de l’intégrité territoriale du Royaume.
Il convient de préciser que dans sa déclaration sur la résolution des conflits en Afrique, le Conseil de l’Internationale socialiste a consacré à la question du Sahara un paragraphe dans lequel il « exprime son soutien au Secrétaire général des Nations unies et à son Envoyé spécial nouvellement mandaté dans leurs efforts pour parvenir à une solution politique, pacifique, juste et durable, qui soit mutuellement acceptable pour les deux parties en conflit, conformément aux résolutions pertinentes des Nations unies. Le processus devrait conduire à des négociations directes entre les deux parties».
I.E