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Il a été souligné aussi que les "collectivités locales africaines ne peuvent rester silencieuses sur la question des changements climatiques".
Et si les négociations de Copenhague s'avèrent « difficiles », c'est parce que « la communauté internationale, particulièrement le monde développé, n'est pas prête à mettre en pratique le principe de la responsabilité commune et différentiée en matière de lutte contre le réchauffement climatique", indique ce document qui traduit la volonté mais également les convictions et les souhaits des participants à cette nouvelle édition des “Africités”.
C'est dire aussi que le Sommet de Copenhague est plus que jamais appelé à faire un pas décisif dans la lutte contre les changements climatiques.
Dans ce cadre, il a été souligné que les cités africaines et les collectivités locales et régionales soutiennent pleinement la position proposée par les négociateurs africains à la conférence et lancent un appel aux pays développés à reconnaître leur responsabilité historique en matière de changements climatiques, indique la même source.
« Le monde ne peut se permettre un autre retard sur la question de la réduction des gaz à effet de serre (GES) », précise le document, invitant les pays développés à fournir l'assistance aux régions les plus vulnérables du monde afin de leur permettre de lutter contre les effets néfastes du réchauffement climatique.
En se basant sur le Protocole de Kyoto et sur le Plan d'action de Bali, ajoute le document, les cités africaines ainsi que les collectivités locales et régionales réaffirment que la réponse globale aux changements climatiques ne peut être dissociée des autres points de l'agenda international que sont l'éradication de la pauvreté, le développement durable et l'égalité des genres.