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Que ressentez-vous après un tel match ?
"Je n'ai pas compris ce qu'il s'est passé ce soir. J'ai du mal encore à expliquer. C'était un grand match entre deux équipes parmi les meilleures au monde. Le Bayern est une équipe difficile à jouer, elle monopolise le ballon, elle ne te laisse pas jouer, elle veut t'assommer. On avait bien commencé, mais leur égalisation nous a fait mal. On a encaissé un deuxième but, mais on a eu le calme et la lucidité pour gérer tout cela. Ce fut un match extraordinaire avec un but de Pandev qui restera dans l'histoire. La victoire a été difficile à aller chercher face à une grande équipe, mais elle est d'autant plus extraordinaire"
A 2-1 à la mi-temps, qu'avez- vous dit à vos joueurs dominés alors par le Bayern ?
"J'ai toujours cru qu'on pouvait gagner ce match. Je leur ai dit que si on rejouait comme on avait abordé le match pendant les dix premières minutes, on pouvait marquer. Le Bayern a cherché à gérer le résultat, on a essayé de leur mettre la pression en défendant plus haut. Si le Bayern se qualifiait c'était normal, c'est nous qui nous qualifions et je crois que c'est normal".
Etes-vous surpris par vos joueurs ?
"En un an, cette équipe a eu trois entraîneurs, trois modes de pensées différents, trois langages différents et il faut être très intelligent pour gérer tout cela, après avoir tout gagné. La qualité de cette équipe, c'est son intelligence. Elle a une intelligence tactique, une intelligence du cœur. Elle est capable de tout, elle s'améliore de jour en jour, cela peut être encore notre année en Championnat, en Ligue des champions et en Coupe."