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Selon les trois instituts à l’origine de ce résultat (le Centre d’étude sur le dioxyde de carbone et le changement mondial, l’institut Heartland et le Projet science et politique environnementale [SEPP]), le réchauffement climatique ne serait pas synonyme de désastre écologique:
«Le genre humain sera bien plus en forme en 2100 que maintenant et il sera en conséquence capable de s’adapter aux nouvelles conditions que les changements climatiques pourraient créer.»
Les auteurs de cette étude vont même plus loin en affirmant que les émissions de gaz à effet de serre dues à l’activité humaine ne jouent pas un «rôle substantiel» sur le changement climatique et sur l’augmentation de la température.
Point important: ces «instituts indépendants» sont depuis longtemps impliqués dans la controverse sur le réchauffement climatique. L’institut Heartland milite avec ferveur pour une économie plus libérale et a pendant longtemps été financé par le groupe pétrolier ExxonMobil (plus de 600.000 dollars entre 1998 et 2005). C’est aussi le cas du Centre d’étude sur le dioxyde de carbone et le changement mondial qui aurait reçu plus de 90.000 dollars d’ExxonMobile entre 1998 et 2008.
International Business Times explique que l'étude vient contredire les résultats d’autres rapports publiés auparavant qui surestiment l’impact de l’activité humaine et «échouent à prendre en compte les processus biologiques et chimiques, qui sont tout aussi importants que les processus physiques».
D’après le très libéral site d’information New American, la nouvelle étude pointe directement les conclusions opposées du Panel intergouvernemental sur le changement climatique (IPCC), une autre organisation américaine qui publie régulièrement des études utilisées par de nombreux pays pour mettre en place leur politique environnementale.
Pour IPCC, il est clair que les actions de l’homme sont directement responsables du réchauffement climatique. Or, dans un communiqué de presse, les auteurs de la nouvelle étude dénoncent le manque de fiabilité des modèles climatiques d’IPCC qui n’intègrent pas certains facteurs environnementaux et qui sont «déjà soumis à de sévères critiques pour ne pas avoir respecté les principes de base des revues académiques et pour être basés sur des sources de seconde main».
Au contraire, la nouvelle étude soutient que «l’effet net du réchauffement continu et de la hausse de la concentration en dioxyde de carbone dans l’atmosphère a plus de chance d’être bénéfique pour les humains, les plantes et les animaux». Les chercheurs ont en effet remarqué que le réchauffement climatique pourrait être non seulement bénéfique aux mammifères mais aussi aux amphibiens, aux oiseaux et aux insectes.