-
Driss Lachguar reçoit les dirigeants des partis de Palestine, du Koweït et de Libye
-
La portée stratégique de la régionalisation avancée exige une implication accrue de tous les acteurs dans le processus de concertation et de dialogue constructif
-
La Chambre des représentants et le Haut Conseil d'Etat libyens s'accordent sur la phase préliminaire des échéances électorales
-
Crise libyenne : Nasser Bourita souligne la nécessité impérieuse de s'imprégner de l'"esprit de Skhirat"
-
Libération de quatre ressortissants français retenus à Ouagadougou depuis décembre 2023 suite à la médiation de SM le Roi
C’est en fait plus qu’une rumeur colportée, mais surtout confirmée, par plus d’une source digne de foi.
A l’origine de cette décision dont tout Mohammedia parle, le fait que l’intéressé serait un mauvais payeur, ses dettes envers le Trésor auraient atteint des montants faramineux.
A rappeler que l’intéressé s’est retrouvé à la présidence de la commune de la ville des fleurs, alors qu’il ne disposait que d’une minorité, à peine trois sièges. Le Conseil constitutionnel avait auparavant annulé les résultats des élections législatives 2007 à Mohammedia après avoir été convaincu des nombreuses violations et irrégularités commises par le concerné.
Des élections législatives partielles étaient organisées, par la suite, en septembre 2008 dans certaines régions notamment à Mohammedia. Mais contre toute attente Mohamed Atouani, qui était parmi les 7 candidats à briguer un siège à Mohammedia, avait remporté ces élections partielles et retrouvé son statut de parlementaire.
Suite à cette décision, les indemnités qu’il s’apprête à percevoir pour le compte du mois en cours, devaient être « soulagées » de quelque 15 mille dirhams.
Une mesure qui devrait rester en vigueur jusqu’à éponger les sommes dues au fisc.
Le député de Mohammedia serait donc le deuxième parlementaire à subir ce genre de ponction après celui de Tifelt, Mahmoud Archane qui, lui aussi, avait «oublié », pendant des années, de s’acquitter de ses impôts.