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192 familles recrutées dans deux maternités britanniques ont été vues à deux reprises, l'une lorsque le bébé avait trois mois et la seconde à un an. Les chercheurs ont classé le comportement problématique des nourrissons en trois sous-groupes : oppositionnel, agressif et hyperactif.
L'étude a également montré que l'impact du père était plus important chez les garçons que chez les filles, "ce qui pourrait laisser entendre que les garçons sont plus susceptibles d'être influencés par leur père dès leur plus jeune âge", ajoute le Dr Ramchandani.
Le chercheur se montre toutefois prudent, relevant que le mécanisme reste inexpliqué. Le désengagement du père pourrait ainsi être le résultat d'une relation de couple perturbée avec la mère de l'enfant ou refléter un manque général de supervision ou de soins, auquel l'enfant réagirait par un comportement perturbé.
La plupart des études faites jusqu'à présent s'intéressaient surtout au rôle des mères au cours de la très petite enfance.
"Nos recherches apportent une nouvelle pierre à un faisceau grandissant de preuves suggérant qu'une intervention précoce auprès des parents peut avoir un impact positif sur le développement de l'enfant", conclut le chercheur.