-
Législatives britanniques. Victoire écrasante des travaillistes, prêts à incarner le changement
-
Législatives en France. Ces électeurs qui ne veulent plus faire barrage
-
Des Gazaouis de retour de détention accusent Israël de torture
-
Législatives françaises. Un "front républicain" se met en ordre de bataille contre le RN
-
Bombardements israéliens dans la bande de Gaza
Le 21 janvier, le Parlement avait voté une loi lui accordant l’immunité et entérinant la candidature unique du vice-président Abd Rabbo Mansour Hadi à la présidentielle.Le département d’Etat américain —qui n’a jamais souhaité donner de précision sur la date du séjour de M. Saleh ou le lieu où il devait résider— avait précisé mardi que lors de sa visite aux Etats-Unis, il bénéficierait «des privilèges et de l’immunité accordés à tout chef d’Etat, jusqu’à ce qu’un nouveau président yéménite soit élu le 21 février». L’ambassadeur américain au Yémen Gerald Feirestein avait déclaré de son côté le même jour que la durée du séjour de M. Saleh, pour lequel Washington a accordé un visa d’entrée pour des soins, serait déterminée par ses médecins. «Je ne pense pas qu‘il cherche l’asile politique», avait-il affirmé. Il avait ajouté que le «fait de pas être ici (au Yémen) aidera le processus de transition et améliorera l’atmosphère». L’ambassade du Yémen à Washington avait affirmé qu’après «une courte visite médicale privée» aux Etats-Unis, le président Saleh retournerait «au Yémen en février», afin d’assister à la prestation de serment du nouveau président.