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L'extradition au Maroc de Mohammed El Ouazzani, évadé en décembre 2007 de la prison de Kénitra où il purgeait une peine de huit ans de prison pour trafic de drogue, avait été approuvée par le conseil des ministres espagnol en juin dernier en vertu de l'accord relatif à l'extradition signé entre l'Espagne et le Maroc.
Un mois après l'accord sur son extradition, il avait été transféré de Madrid à Rabat pour être remis au Maroc.
El Nene avait été arrêté dans le préside de Sebta le 22 avril 2008, en vertu d'un mandat d'arrêt international émis par les autorités marocaines. Dans sa sentence, rendue publique mercredi, la salle du contentieux administratif du Tribunal suprême souligne que l'Exécutif espagnol "n'a pas décidé sur l'extradition, sinon sur son exécution", estimant "qu'il n'y a pas eu de violation de l'accord d'extradition entre l'Espagne et le Maroc". La défense du célèbre baron de drogue avait décidé d'interjeter recours, devant les tribunaux, à la décision du conseil des ministres espagnol dans une tentative de bloquer son extradition vers le Maroc, en affirmant que l'Exécutif espagnol avait considéré El Nene comme un Marocain alors que dans les registres il figurait comme Espagnol.