-
En flagrante collusion avec le terrorisme au Mali : Alger le pompier pyromane de service
-
Le Général de Corps d'Armée, Inspecteur Général des FAR et Commandant la Zone Sud reçoit le Conseiller de SA l’Emir du Qatar aux affaires de défense
-
SM le Roi échange des messages de félicitations avec des chefs d’Etat et de gouvernement de pays frères et amis à l’occasion du Nouvel An
-
L’OMDH plaide pour la mise en place d’un Code de la famille assurant justice et égalité des droits entre hommes et femmes
-
Les défis du projet de loi sur la grève au Maroc
Les dirigeants des pays ayant pris part au Sommet extraordinaire arabo-islamique tenu samedi à Riyad ont affirmé leur soutien aux efforts déployés par le Comité d’Al-Qods, présidé par SM le Roi Mohammed VI, que Dieu Le glorifie.
Cet appui a été exprimé dans la mise en exergue, contenue dans la résolution sanctionnant les travaux de ce Sommet extraordinaire, des actions entreprises sur le terrain destinées à atténuer la souffrance des Maqdessis à cause de l’escalade que connaissent les territoires palestiniens occupés, ainsi qu’à encourager les habitants d’Al-Qods à résister et préserver le statut juridique et symbolique de cette ville sainte.
Par ailleurs, les dirigeants arabes et musulmans ont souligné la nécessité pour le Conseil de sécurité des Nations unies d’adopter une résolution urgente contraignante pour établir un cessez-le feu et mettre un terme, de manière immédiate, à l’agression israélienne contre le peuple palestinien, de telle sorte à garantir la protection des civils, lever le blocus imposé à la Bande de Gaza et permettre d’y acheminer les aides humanitaires et de secours urgentes de façon durable.
Ils ont averti que tout retard dans l’établissement d’un cessez-le-feu augmenterait les possibilités d’un élargissement du conflit sur le plan régional.
Le Royaume du Maroc, qui a présidé la session extraordinaire du Conseil de la Ligue au niveau des ministres des Affaires étrangères, tenue le 11 octobre dernier au Caire, avait mis en garde contre la poursuite de l’escalade dans la région qui pourrait étendre le périmètre des affrontements et alimenter le cycle de violence et de contre-violence, ce qui risque d'anéantir le reste des espoirs des peuples de la région d'instaurer une paix durable et globale.
Cette situation interpelle la communauté internationale et les puissances agissantes, ainsi que les membres permanents du Conseil de sécurité quant à l’efficacité de leur approche face à cette crise chronique.