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L'administration du président des Etats-Unis a rendu publique vendredi une vague de sanctions visant la Russie en riposte à une série d'actes imputés à Moscou, dont une cyberattaque géante et des ingérences dans les élections américaines de novembre.
Depuis son arrivée au pouvoir, Joe Biden promettait d'être nettement plus ferme que son prédécesseur Donald Trump, accusé de complaisance à l'égard du maître du Kremlin. Il est allé jusqu'à qualifier Vladimir Poutine de "tueur" Mais il a aussi proposé en début de semaine au président russe un sommet en terrain neutre. "Le moment de la désescalade est venu", a-t-il dit jeudi.
L'idée d'une telle rencontre a été bien accueillie à Moscou, M. Peskov revendiquant même que Vladimir Poutine avait le premier proposé un dialogue approfondi. Il faisait référence à une invitation en mars à un dialogue en ligne public et en direct, après que Joe Biden eut qualifié de le président russe de "tueur".