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Le rideau s’est levé, vendredi soir au Théâtre Mohammed VI à Oujda, sur la 12è édition du Festival international du cinéma et immigration, organisé par l’Association solidarité pour le développement et l’immigration.
La cérémonie d’ouverture de cet événement, placé sous le thème "Cinéma et droits des migrants" et qui se poursuivra jusqu’au 25 novembre, s'est déroulée dans une ambiance festive, en présence de cinéastes, d’acteurs, de réalisateurs et de producteurs du monde cinématographique, ainsi que d'un public passionné du septième art.
Elle a été marquée notamment par un hommage rendu à trois grandes figures du cinéma, à savoir le réalisateur, producteur et scénariste franco-marocain Mohamed Fekrane, le réalisateur français Patrick Attali, et l'actrice marocaine Adly Khadija.
Douze films sont en compétition pour les prix de cette édition, représentant le Maroc, la Tunisie, la France, l’Italie, la Belgique, l’Irak, la Jordanie et la Syrie.
Selon les organisateurs, quatre longs-métrages et huit courts-métrages sont en lice pour les deux compétitions officielles de cette édition.
Le jury des longs et courts métrages, présidé par la réalisatrice marocaine Fatima Boubakdi, est composé de l'acteur marocain Brice Thami Bexter, du poète et critique Yahya Amara, de la directrice artistique du Festival de Vérone en Italie Buemi Giusy, et de l'acteur belge Lambrix Vincent Joseph.
Dans une allocution d'ouverture, le directeur du festival et président de l'association organisatrice, Abdellatif Driffi, a souligné que cet événement représente une véritable opportunité de célébrer l'art cinématographique, largement populaire à travers le monde, notant que cette popularité a transformé le cinéma en un moyen puissant d'améliorer la communication et la convergence entre différentes cultures.
Dans une déclaration à la MAP, il a mis l'accent sur les nouveautés et la richesse du programme de cette édition, qui se propose d'encourager le cinéma marocain en présentant une série de films marocains traitant du phénomène de la migration et des migrants.
M. Driffi a fait savoir qu’en plus de la projection de films, le programme du festival comprend trois master classes, un colloque scientifique sous le thème "Cinéma et droits de l'Homme", ainsi que des ateliers sur les métiers du cinéma.
De son côté, Youness Lahri, acteur et réalisateur marocain résidant en Belgique, et directeur artistique du festival, a indiqué que cet événement est désormais mature et jouit d’une présence forte sur la scène culturelle marocaine, mettant en exergue l'enthousiasme des habitants de la ville d'Oujda et leur afflux massif au festival.
Il a également souligné le caractère international du festival qui attire des politiciens, des intellectuels et des personnalités de divers horizons pour discuter des questions de la migration et ce, en parallèle avec la projection de films soigneusement sélectionnés pour sensibiliser le public sur ce phénomène complexe, qui est au cœur de l'actualité internationale.
Quant à la directrice régionale de la Culture de l'Oriental, Sabah Bay Bay, elle a relevé l’importance de cette manifestation cinématographique, qui est un projet culturel et artistique visant à renforcer le rapprochement entre les cultures et les peuples à travers le septième art.
Elle a, à cette occasion, mis en avant l’intérêt porté par SM le Roi Mohammed VI à la question de la migration et à la diaspora marocaine, rappelant, dans ce sens, le discours prononcé par SM le Roi à l’occasion du 49è anniversaire de la Marche Verte, dans lequel le Souverain a annoncé la création de la Fondation Mohammedia des Marocains résidant à l’étranger (MRE).
Elle a, par ailleurs, indiqué que le ministère de la Culture a élaboré un projet prometteur, en vue d’insuffler un nouvelle dynamique au septième art national et de réconcilier le large public, notamment les jeunes, avec les salles obscures, notant que ce projet à donné lieu à l’ouverture de 150 salles de cinéma, à travers le territoire national dans le cadre du ’’Nouveau service culturel’’ visant à combler le manque enregistré en matière d’offre cinématographique.
Cet événement culturel, qui sera ponctué aussi par la signature de publications sur l'immigration, est organisé en partenariat avec la Direction régionale de la Culture de l’Oriental, avec le soutien de la wilaya de la région de l'Oriental, du Centre du cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger, de l'Agence de développement de l’Oriental (ADO), de l'Université Mohammed Premier (UMP), des Conseils provincial et communal d'Oujda-Angad, et d’autres partenaires.
La cérémonie d’ouverture de cet événement, placé sous le thème "Cinéma et droits des migrants" et qui se poursuivra jusqu’au 25 novembre, s'est déroulée dans une ambiance festive, en présence de cinéastes, d’acteurs, de réalisateurs et de producteurs du monde cinématographique, ainsi que d'un public passionné du septième art.
Elle a été marquée notamment par un hommage rendu à trois grandes figures du cinéma, à savoir le réalisateur, producteur et scénariste franco-marocain Mohamed Fekrane, le réalisateur français Patrick Attali, et l'actrice marocaine Adly Khadija.
Douze films sont en compétition pour les prix de cette édition, représentant le Maroc, la Tunisie, la France, l’Italie, la Belgique, l’Irak, la Jordanie et la Syrie.
Selon les organisateurs, quatre longs-métrages et huit courts-métrages sont en lice pour les deux compétitions officielles de cette édition.
Le jury des longs et courts métrages, présidé par la réalisatrice marocaine Fatima Boubakdi, est composé de l'acteur marocain Brice Thami Bexter, du poète et critique Yahya Amara, de la directrice artistique du Festival de Vérone en Italie Buemi Giusy, et de l'acteur belge Lambrix Vincent Joseph.
Dans une allocution d'ouverture, le directeur du festival et président de l'association organisatrice, Abdellatif Driffi, a souligné que cet événement représente une véritable opportunité de célébrer l'art cinématographique, largement populaire à travers le monde, notant que cette popularité a transformé le cinéma en un moyen puissant d'améliorer la communication et la convergence entre différentes cultures.
Dans une déclaration à la MAP, il a mis l'accent sur les nouveautés et la richesse du programme de cette édition, qui se propose d'encourager le cinéma marocain en présentant une série de films marocains traitant du phénomène de la migration et des migrants.
M. Driffi a fait savoir qu’en plus de la projection de films, le programme du festival comprend trois master classes, un colloque scientifique sous le thème "Cinéma et droits de l'Homme", ainsi que des ateliers sur les métiers du cinéma.
De son côté, Youness Lahri, acteur et réalisateur marocain résidant en Belgique, et directeur artistique du festival, a indiqué que cet événement est désormais mature et jouit d’une présence forte sur la scène culturelle marocaine, mettant en exergue l'enthousiasme des habitants de la ville d'Oujda et leur afflux massif au festival.
Il a également souligné le caractère international du festival qui attire des politiciens, des intellectuels et des personnalités de divers horizons pour discuter des questions de la migration et ce, en parallèle avec la projection de films soigneusement sélectionnés pour sensibiliser le public sur ce phénomène complexe, qui est au cœur de l'actualité internationale.
Quant à la directrice régionale de la Culture de l'Oriental, Sabah Bay Bay, elle a relevé l’importance de cette manifestation cinématographique, qui est un projet culturel et artistique visant à renforcer le rapprochement entre les cultures et les peuples à travers le septième art.
Elle a, à cette occasion, mis en avant l’intérêt porté par SM le Roi Mohammed VI à la question de la migration et à la diaspora marocaine, rappelant, dans ce sens, le discours prononcé par SM le Roi à l’occasion du 49è anniversaire de la Marche Verte, dans lequel le Souverain a annoncé la création de la Fondation Mohammedia des Marocains résidant à l’étranger (MRE).
Elle a, par ailleurs, indiqué que le ministère de la Culture a élaboré un projet prometteur, en vue d’insuffler un nouvelle dynamique au septième art national et de réconcilier le large public, notamment les jeunes, avec les salles obscures, notant que ce projet à donné lieu à l’ouverture de 150 salles de cinéma, à travers le territoire national dans le cadre du ’’Nouveau service culturel’’ visant à combler le manque enregistré en matière d’offre cinématographique.
Cet événement culturel, qui sera ponctué aussi par la signature de publications sur l'immigration, est organisé en partenariat avec la Direction régionale de la Culture de l’Oriental, avec le soutien de la wilaya de la région de l'Oriental, du Centre du cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger, de l'Agence de développement de l’Oriental (ADO), de l'Université Mohammed Premier (UMP), des Conseils provincial et communal d'Oujda-Angad, et d’autres partenaires.
Bouillon de culture
Hassan Mégri
Une soirée musicale en hommage posthume à la mémoire de l'artiste et cofondateur du groupe musical "Les Frères Mégri", feu Hassan Mégri, a été organisée vendredi soir au théâtre Mohammed VI de Casablanca, en présence de plusieurs figures artistiques et culturelles.
Cet événement artistique, initié par le Comité national de la musique, membre du Conseil international de la musique, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, se veut une occasion pour perpétuer le riche répertoire de feu Hassan Mégri, figure emblématique de la musique marocaine, qui a révolutionné la scène musicale nationale dans les années 1960-1970, tout en le faisant découvrir aux jeunes générations.
Cette soirée, la quatrième du genre après celles de Rabat, Oujda et Al-Fujairah (Émirats Arabes Unis), a été animée par l'artiste Nasr Mégri, accompagné de l'Orchestre Interculturel du Maroc, dirigé par le maestro Hamza Amazgar, avec la participation du célèbre chanteur Fouad Zbadi et de la soprano Samira Kadiri, invités d'honneur.
Une partie du répertoire musical ayant marqué la carrière de Hassan Mégri, depuis le début des années 1960 jusqu'en 2019, a été interprétée pour le plaisir des amateurs de musique.
Au cours de cette cérémonie, l’artiste Nasr Mégri, fils du défunt, a brillamment revisité plusieurs œuvres de son père avec de nouveaux arrangements, notamment "Wadaâtouhou", "Ch'aaltiha Nar", "Mantach Wahdak", "Lan Yasmah", "Hadak Ana" et "Lili Twil".
Une soirée musicale en hommage posthume à la mémoire de l'artiste et cofondateur du groupe musical "Les Frères Mégri", feu Hassan Mégri, a été organisée vendredi soir au théâtre Mohammed VI de Casablanca, en présence de plusieurs figures artistiques et culturelles.
Cet événement artistique, initié par le Comité national de la musique, membre du Conseil international de la musique, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, se veut une occasion pour perpétuer le riche répertoire de feu Hassan Mégri, figure emblématique de la musique marocaine, qui a révolutionné la scène musicale nationale dans les années 1960-1970, tout en le faisant découvrir aux jeunes générations.
Cette soirée, la quatrième du genre après celles de Rabat, Oujda et Al-Fujairah (Émirats Arabes Unis), a été animée par l'artiste Nasr Mégri, accompagné de l'Orchestre Interculturel du Maroc, dirigé par le maestro Hamza Amazgar, avec la participation du célèbre chanteur Fouad Zbadi et de la soprano Samira Kadiri, invités d'honneur.
Une partie du répertoire musical ayant marqué la carrière de Hassan Mégri, depuis le début des années 1960 jusqu'en 2019, a été interprétée pour le plaisir des amateurs de musique.
Au cours de cette cérémonie, l’artiste Nasr Mégri, fils du défunt, a brillamment revisité plusieurs œuvres de son père avec de nouveaux arrangements, notamment "Wadaâtouhou", "Ch'aaltiha Nar", "Mantach Wahdak", "Lan Yasmah", "Hadak Ana" et "Lili Twil".