Le Festival mondial du film sur la sécurité routière de 2025 a été officiellement lancé, lundi à Marrakech, en prélude à la 4ème Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, avec pour objectif de mobiliser la communauté internationale autour des enjeux de la sécurité routière à travers le cinéma.
Organisé par la Laser International Foundation (LIFE), en partenariat avec l'Agence nationale de la sécurité routière (NARSA), la Prévention routière internationale (PRI) et la Fédération Internationale de l'automobile (FIA), cet événement réunit des représentants des Nations unies, des décideurs politiques, des acteurs économiques, des professionnels du cinéma et des médias, ainsi que des jeunes engagés dans des initiatives de prévention.
Avec des productions issues de plus de 64 pays, le festival illustre la diversité des approches en matière de sensibilisation, tout en véhiculant un message universel, la nécessité d'un engagement collectif pour des routes plus sûres.
Dans une déclaration à la MAP à l'occasion, Awa Sar, membre du jury du festival, a souligné que cet évènement constitue une plateforme exceptionnelle pour rappeler que la sécurité routière est un enjeu global qui transcende les frontières.
"Voir autant de pays en compétition démontre la mobilisation internationale autour de cette cause. Chaque film raconte une histoire poignante qui interpelle et invite à l’action. Nous avons besoin de paix et de sécurité sur nos routes, et ces productions nous rapprochent un peu plus de cet objectif commun", a-t-elle affirmé.
Elle a, dans ce contexte, relevé que l'édition 2025 du festival met l’accent sur plusieurs axes clés, à savoir la promotion d’une culture de sécurité routière à l’échelle des cinq continents, la mobilisation des acteurs publics et privés, l’éducation et la formation, ainsi que la contribution aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, notamment en matière de santé, d’infrastructures et de villes durables.
Et de soutenir que cet engagement s’inscrit dans l’objectif de réduire de 50% le nombre de décès dus aux accidents de la route d’ici 2030, conformément à la Décennie d’action pour la sécurité routière des Nations unies (2021-2030).
Les films en compétition concourent pour plusieurs distinctions, dont un Grand Prix, des prix du jury et du public, ainsi que des trophées récompensant les meilleures productions dans différentes catégories, allant de l’éducation à la prévention des risques en milieu professionnel.
La cérémonie de remise des prix, prévue le 20 février, viendra couronner les œuvres les plus marquantes de cette édition, réaffirmant ainsi l’engagement du festival à faire du cinéma un puissant levier de sensibilisation et de changement en matière de sécurité routière.
Organisé par la Laser International Foundation (LIFE), en partenariat avec l'Agence nationale de la sécurité routière (NARSA), la Prévention routière internationale (PRI) et la Fédération Internationale de l'automobile (FIA), cet événement réunit des représentants des Nations unies, des décideurs politiques, des acteurs économiques, des professionnels du cinéma et des médias, ainsi que des jeunes engagés dans des initiatives de prévention.
Avec des productions issues de plus de 64 pays, le festival illustre la diversité des approches en matière de sensibilisation, tout en véhiculant un message universel, la nécessité d'un engagement collectif pour des routes plus sûres.
Dans une déclaration à la MAP à l'occasion, Awa Sar, membre du jury du festival, a souligné que cet évènement constitue une plateforme exceptionnelle pour rappeler que la sécurité routière est un enjeu global qui transcende les frontières.
"Voir autant de pays en compétition démontre la mobilisation internationale autour de cette cause. Chaque film raconte une histoire poignante qui interpelle et invite à l’action. Nous avons besoin de paix et de sécurité sur nos routes, et ces productions nous rapprochent un peu plus de cet objectif commun", a-t-elle affirmé.
Elle a, dans ce contexte, relevé que l'édition 2025 du festival met l’accent sur plusieurs axes clés, à savoir la promotion d’une culture de sécurité routière à l’échelle des cinq continents, la mobilisation des acteurs publics et privés, l’éducation et la formation, ainsi que la contribution aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, notamment en matière de santé, d’infrastructures et de villes durables.
Et de soutenir que cet engagement s’inscrit dans l’objectif de réduire de 50% le nombre de décès dus aux accidents de la route d’ici 2030, conformément à la Décennie d’action pour la sécurité routière des Nations unies (2021-2030).
Les films en compétition concourent pour plusieurs distinctions, dont un Grand Prix, des prix du jury et du public, ainsi que des trophées récompensant les meilleures productions dans différentes catégories, allant de l’éducation à la prévention des risques en milieu professionnel.
La cérémonie de remise des prix, prévue le 20 février, viendra couronner les œuvres les plus marquantes de cette édition, réaffirmant ainsi l’engagement du festival à faire du cinéma un puissant levier de sensibilisation et de changement en matière de sécurité routière.
Bouillon de culture
Journée d’étude
Le Musée de Bank Al-Maghrib et l'Association marocaine des politiques publiques organisent, jeudi à Rabat, une journée d’étude sous le thème "Politique culturelle au Maroc: Etat, défis et perspectives".
Organisée en collaboration avec le master "Ingénierie culturelle et artistique" de la Faculté des lettres et des sciences humaines Ben M'sik et la Fondation Friedrich-Naumann-Maroc, cette journée d’étude ambitionne d'examiner les fondements et les défis des politiques culturelles dans le Royaume à travers des réflexions croisées entre chercheurs, artistes, acteurs institutionnels et membres de la société civile, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
L'événement se veut un espace de dialogue et de co-construction pour une politique culturelle dynamique, inclusive et adaptée aux réalités nationales et internationales, ajoute la même source.
Les échanges vont s'articuler autour de deux axes principaux: le premier portera sur les fondements et les enjeux des politiques culturelles, en s'intéressant notamment à leur ancrage historique et institutionnel, à leur rôle dans la construction de la citoyenneté et à la place des droits culturels dans la société marocaine.
Le second axe portera sur les domaines d'application de la politique culturelle, en mettant l'accent sur le théâtre, le livre et les politiques linguistiques.
Le Musée de Bank Al-Maghrib et l'Association marocaine des politiques publiques organisent, jeudi à Rabat, une journée d’étude sous le thème "Politique culturelle au Maroc: Etat, défis et perspectives".
Organisée en collaboration avec le master "Ingénierie culturelle et artistique" de la Faculté des lettres et des sciences humaines Ben M'sik et la Fondation Friedrich-Naumann-Maroc, cette journée d’étude ambitionne d'examiner les fondements et les défis des politiques culturelles dans le Royaume à travers des réflexions croisées entre chercheurs, artistes, acteurs institutionnels et membres de la société civile, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
L'événement se veut un espace de dialogue et de co-construction pour une politique culturelle dynamique, inclusive et adaptée aux réalités nationales et internationales, ajoute la même source.
Les échanges vont s'articuler autour de deux axes principaux: le premier portera sur les fondements et les enjeux des politiques culturelles, en s'intéressant notamment à leur ancrage historique et institutionnel, à leur rôle dans la construction de la citoyenneté et à la place des droits culturels dans la société marocaine.
Le second axe portera sur les domaines d'application de la politique culturelle, en mettant l'accent sur le théâtre, le livre et les politiques linguistiques.
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