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La Hongrie face à la pression de BruxellesLibé
Jeudi 19 Janvier 2012
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Bruxelles a donné mardi un mois au gouvernement hongrois de Viktor Orban pour modifier des lois qui lui confèrent des pouvoirs controversés sur la banque centrale notamment, sous peine d’être poursuivi en justice et de ne pas obtenir une aide financière cruciale. Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a annoncé à Strasbourg l’ouverture de trois «procédures d’infraction» à l’encontre de la Hongrie au sujet de ses réformes concernant la banque centrale, les juges, et l’autorité hongroise de protection des données. «Nous ne voulons pas que l’ombre d’un doute soit jetée plus longtemps sur le respect de la démocratie dans ce pays», a expliqué José Manuel Barroso. S’il ne modifie pas ces textes d’ici un mois, le gouvernement hongrois peut être poursuivi devant la Cour de justice européenne. Budapest est sous pression également du Fonds monétaire international (FMI), qui s’inquiète de l’indépendance du président de la banque centrale, que la réforme prévoit de flanquer d’adjoints nommés par le gouvernement. Alors que l’Etat hongrois, au bord de la banqueroute, cherche à obtenir de l’UE et du FMI un crédit de 15 à 20 milliards d’euros, le commissaire en charge des questions économiques Olli Rehn a souligné mardi que la «pleine indépendance de la banque centrale» était une condition à son octroi. Budapest envoie du coup des signaux apaisants. Mardi, un ministre hongrois, Zoltan Kovacs, a assuré que son pays était prêt à «régler» tous les problèmes soulevés par la Commission, se réjouissant au passage que la discussion soit retombée au niveau «des détails techniques et des questions juridiques». Avant de rencontrer M. Barroso le 24 janvier, Viktor Orban viendra s’expliquer en personne mercredi devant le Parlement européen. «Nous ne permettrons pas à la gauche internationale d’accuser la Hongrie sur la scène internationale, avec des mensonges et calomnies infondées», a affirmé à Budapest son porte-parole.
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