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Londres s'inquiète que les institutions de l'UE, qui concernent 27 pays, servent à garantir la mise en œuvre d'un accord ne concernant que les 17 pays de la zone euro. "Dans chacune de leurs conversations téléphoniques, les dirigeants sont convenus de poursuivre leur étroite coopération sur les questions européennes, en particulier en faveur de l'emploi et de la croissance via le marché unique. Ils sont convenus que la priorité de l'économie européenne consistait toujours à mettre en œuvre une action globale et résolue pour faire face à la dette et accroître la compétitivité", a dit le porte-parole de David Cameron. Plusieurs pays non-membres de la zone euro ayant donné leur accord à un nouveau traité intergouvernemental, tels la Suède, la Hongrie et la République tchèque, doivent obtenir l'accord de leur parlement avant d'adhérer officiellement au projet. David Cameron s'est également entretenu mercredi avec des parlementaires de son Parti conservateur, formation largement eurosceptique. D'après un dirigeant conservateur cité par The Guardian, David Cameron a assuré qu'il était "hors de question" que la Grande-Bretagne se retrouve seule face aux 26 autres Etats membres de l'UE. "Il y a un certain nombre d'autres pays qui ne sont pas convaincus par ce à quoi on leur demande d'adhérer", a dit cette source. Un porte-parole de David Cameron a refusé de commenter ces propos.