-
Deuxième visite de l’Académie "Soccer Lionceaux" de Montréal au Maroc
-
Le Maroc, une superpuissance émergente du football mondial
-
Le WAC force le nul à Zemamra
-
Karting : Le Maroc deuxième de la MENA Nations Cup au Qatar
-
Franc succès de la quatrième édition des jeux nationaux des Appelés du 39ème Contingent du Service Militaire
Si l’on a doté le FUS de Rabat d’autant de moyens et si l’on a mis à sa disposition, et à sa tête, tant de cracks, ce n’est sûrement pas pour qu’il permette à ses joueurs de gesticuler ou de protester à chaque coup de sifflet, ni à son entraîneur qui comme par hasard, fait partie du quatuor ( !) chargé du sort du Onze national, de gratifier les dix sept lois du football d’une interprétation bien à lui. Plutôt étonnant de la part d’un Ammouta pour qui le football ne doit pas avoir de secret. Que l’on ne s’empresse surtout pas de chercher à déceler quelque parti pris au profit d’un certain X ou au détriment de quelque Y. Sur ces mêmes colonnes, l’autre entraîneur, Baddou du WAC, n’a jamais été ménagé quand il trouvait un malin plaisir à charger l’arbitrage, chaque fois que le résultat n’était pas à son goût.
Le pire, on le doit à ce communiqué dûment signé par l’honorable comité du même FUS qui demande (ordonne ?) que l’arbitre Rouissi ne soit plus désigné pour ses matchs. Si cela le professionnalisme, alors, non, merci !
Et ce n’est pas non plus avec l’incorrigible « Arriyadia » et ses super-commentateurs ou consultants que l’on pourra s’approcher de l’objectif visé.
Pitié en cette rentrée sportive et en ce mois de Ramadan.
Que peut bien signifier « un but à 100% marocain, avec des pieds marocains, un talent et un génie marocains » ?
Qu’est-ce qu’il voulait bien insinuer le commentateur de service de ce même FUS/WAC, en disant d’Ammouta qu’il n’avait d’autre souci que de limiter les dégâts ?
Et ce consultant que l’on aimait bien du temps où il était joueur, mais qui, maintenant, se laisse aller vers des propos frisant la xénophobie et le racisme. Sinon, comment s’expliquer cette bourde qui l’a poussé à dire qu’« un entraîneur national a battu un entraîneur étranger » en parlant de la victoire de l’ASS face au KAC ? Et pourquoi a-t-il omis de parler de la défaite du « national » du WAF contre « l’étranger » du HUSA ?
Messieurs, arrêtons de continuer à tirer notre football vers le bas.