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En 2014, un citoyen non-UE sur quatre (25,5%) âgé de 18 à 24 ans a mis fin prématurément à ses études ou à sa formation, contre 10,2% des nationaux et 19,2% des citoyens d'un autre Etat membre de l'UE, relève Eurostat dans une publication relative à l'intégration des migrants en matière d'éducation, rapporte la MAP.
Eurostat souligne, en outre, que plus de 20% des jeunes citoyens de pays hors-UE ne suivent pas d'études et ne travaillent pas, contre 12% des nationaux et 15,5% des citoyens d'un autre Etat membre.
D'autre part, ajoute la même source, la part des ressortissants de pays hors-UE âgés de 30 à 34 ans dans l'UE et diplômés de l'enseignement supérieur s'élevait à 30,2%, contre 38,5% pour les nationaux et 39,3% pour les citoyens d'un autre Etat membre. L'Office statistique de l'UE note, à ce propos, que 43,9% des ressortissants de pays hors-UE âgés de 18 à 64 ans avaient un niveau d'éducation faible en 2014, faisant remarquer que cette proportion s'établissait à environ 25% tant chez les nationaux que chez les citoyens d'un autre Etat membre de l'UE.
L'éducation est un facteur important pour l'intégration des migrants dans la société européenne, car elle leur permet non seulement d'acquérir les compétences nécessaires à une insertion fructueuse sur le marché du travail, mais contribue également à leur participation active grâce à la transmission de la culture et des valeurs du pays dans lequel ils s'installent, souligne Eurostat.