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Le procureur de Téhéran avait annoncé que neuf autres opposants condamnés à mort attendaient le verdict de la cour d’appel. «Neuf autres émeutiers sont encore dans la phase d’appel, et s’ils sont condamnés, la sentence sera exécutée selon la loi», avait-il déclaré.
Par ailleurs, le chef de file de l’opposition iranienne, Mirhossein Moussavi, a affirmé qu’il entend poursuivre son combat politique malgré les pressions des conservateurs visant à empêcher les manifestations antigouvernementales.
“Le mouvement vert ne renoncera pas à son combat pacifique tant que les droits du peuple ne seront pas garantis”, affirme-t-il mardi sur son site Kalemeh.
L’ancien candidat à la présidence affirme que les arrestations pour des motifs politiques et les pendaisons de manifestants sont contraires à la loi et demande des changements constitutionnels pour garantir les droits civiques.
“Les manifestations pacifiques sont le droit des Iraniens”, déclare-t-il.
Deux personnes, accusées d’avoir participé aux manifestations consécutives à l’élection contestée de Mahmoud Ahmadinejad en juin dernier, ont été exécutées par pendaison la semaine dernière.
Moussavi et Mehdi Karoubi, autre ancien candidat à la présidence, ont appelé leurs partisans à participer au rassemblement du 11 février qui doit marquer le 31ème anniversaire de la révolution islamique.