-
La saisie de perroquets à Chefchaouen a été menée conformément à la loi
-
Focus sur des parcours inspirants pour inciter les jeunes à aborder l'avenir avec confiance
-
Lutte contre le mésusage des médicaments et des compléments alimentaires : Un véritable enjeu à relever
-
L’utilisation de l’IA générative dans l'enseignement : Entre nécessité d’adaptation et défis du rendement scolaire
-
Forte mobilisation pour la vaccination des élèves contre la rougeole
La mise en cause se trouvait, en compagnie de deux autres personnes non encore identifiées, à bord d'un véhicule léger qui est entré en collision, au niveau de la zone industrielle, avec un vélomoteur avant de tenter de prendre la fuite, précise un communiqué de la préfecture de police.
La fouille du véhicule, a jouté la même source, a permis la saisie d'une arme blanche (sabre), d'un gramme de cocaïne et d'un téléphone cellulaire.
La prévenue a été placée en garde à vue à la disposition de l'enquête menée sous la supervision du parquet général compétent, alors que les investigations sont en cours pour identifier les deux autres suspects qui se trouvaient à bord du véhicule au moment de l'accident, rapporte la MAP.
Il y a une semaine, les services de la préfecture de police de Casablanca ont procédé à l'arrestation de deux personnes à l'entrée de la ville d'Azemmour en possession d'une grande quantité de comprimés psychotropes, et ce dans le cadre des efforts déployés pour combattre le crime et le trafic de drogue.
Un communiqué de la préfecture de police de Casablanca a indiqué que ses services ont reçu des informations précises sur une opération de transfert, par les mis en cause (nés respectivement en 1972 et 1977), de la quantité de psychotropes saisie vers la ville d'Azemmour à partir de Casablanca.
Suite à cela, les deux prévenus avaient été arrêtés à bord d'une voiture utilitaire et une quantité de 8000 comprimés psychotropes de type Rivotril avaient été saisie, ainsi qu'une plaquette de chira et une quantité de kif, en plus de sommes d'argent et de téléphones portables.
Comme pour le cas de Tétouan, les investigations se poursuivent toujours en vue d'identifier d'autres complices et les présenter devant la justice.