Toilettes présidentielles
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Inédite, la polémique politico-sanitaire a été lancée par le président du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate) Kemal Kiliçdaroglu qui, ce week-end, a pris pour cible le gigantesque et luxueux palais de M. Erdogan, signe selon lui de la folie des grandeurs et de la dérive autoritaire de l’homme fort du pays.
Lors d’une réunion publique samedi à Izmir (ouest), il a dénoncé ces “messieurs d’Ankara” pour lesquels on a “construit des palais, livré des avions, acheté des voitures Mercedes (...) et des sièges en or (pour recouvrir) les toilettes”. Lors d’un entretien dimanche soir sur la télévision publique TRT, M. Erdogan a très sérieusement répondu aux allégations de son adversaire en l’invitant à les vérifier in situ.
Mystère morbide
Les policiers n’ont pour l’instant aucune piste sur l’identité de la femme. Ils s’efforcent de déterminer la cause du décès.
La valise avait été laissée dans une consigne automatique puis transférée dans l’entrepôt des bagages non réclamés, personne n’étant venu la chercher. Il est d’usage d’ouvrir les bagages non collectés au bout d’un mois.
“Une odeur inhabituelle s’est échappée de la valise quand nous l’avons ouverte. Puis nous avons repéré une chevelure”, a expliqué lundi un porte-parole de l’entrepôt.
Le corps en décomposition est celui d’une femme âgée de 70 à 90 ans et de petite taille, environ 1,40 mètre, selon la police.
La valise mesurait 70 cm sur 50, ont précisé les médias.
La gare ferroviaire de Tokyo est l’une des plus fréquentées du Japon, avec quelque 150 millions d’usagers chaque année.