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Il s’appelle Donald Lawson, est un ingénieur des chemins de fer du Michigan de 44 ans et vient de remporter la modique somme de 337 millions de dollars en jouant à la loterie américaine “Powerball”. De quoi satisfaire un grand nombre de personnes... mais pas cet Américain, qui s’est plaint du traitement que va lui faire subir... le ministère des Finances. L’homme a en effet expliqué , au cours de la conférence de presse où il s’est vu remettre son chèque, qu’il allait devoir verser aux impôts pas moins de deux tiers de ses gains !
“C’est sûr que mes conditions de vie vont s’améliorer, mais cet argent ne durera pas toujours, à moins que je ne l’utilise avec sagesse et que je fasse un budget (...) Je suis énervé contre l’Oncle Sam”, a expliqué celui qui vient de remporter la septième plus grosse cagnotte des Etats-Unis, relayé par Le Point. Selon les calculs de Donald Lawson, il ne lui restera que 158,7 millions de dollars une fois sa fiche d’imposition remplie. Autant dire qu’il ne sera pas non plus à la rue...
A noter que Donald Lawson a visiblement décidé de recevoir directement son pactole, d’où cette imposition élevée.
La bibliothèque de Chicago a récupéré cette semaine une édition rare du “Portrait de Dorian Gray” d’Oscar Wilde, qui lui avait été empruntée il y a 78 ans, mais a d’abord dû convaincre la retardataire qu’elle n’irait pas en prison.
Harlean Hoffman Vision a découvert le livre, portant le tampon de la bibliothèque publique de Chicago, dans les affaires de sa mère décédée, mais a attendu mardi pour le rapporter, à la faveur d’une amnistie sur les retards, décidée pour la première fois en 20 ans par l’établissement.
“Elle n’arrêtait pas de demander: ‘Vous n’allez pas m’arrêter ?’ et nous répondions: ‘Non, nous sommes tellement contents que vous l’ayez rapporté’”, a raconté Ruth Lednicer, responsable de la communication de la bibliothèque.
La bibliothèque a fait savoir qu’elle plafonnait à 10 dollars (8 euros) ses amendes, sans quoi Harlean Hoffman Vision aurait dû, hors amnistie, payer 6.000 dollars pour l’oubli, volontaire ou non, de sa mère.