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Cent ans plus tard, le Premier ministre norvégien a célébré cette conquête aux côtés de plusieurs centaines de personnes, scientifiques et aventuriers, rapporte l’AFP. “Nous sommes ici pour célébrer un des exploits les plus impressionnants de l’humanité”, a déclaré Jens Stoltenberg, qui fut hier le second chef de gouvernement de l’histoire à se rendre au pôle Sud. La Néo-Zélandaise Helen Clark l’a précédé en 2007. Cette célébration de la conquête du pôle Sud, lors de laquelle a été dévoilée une statue de glace de Roald Amundsen, a été marquée par la menace que fait peser sur la région et le reste du monde le changement climatique. “Nous sommes ici pour souligner l’importance de ce continent glacial dans le travail visant à comprendre le réchauffement de la planète”, a souligné le Premier ministre norvégien. “Ces dernières années, le continent antarctique a changé plus rapidement qu’à n’importe quelle période de ces 800 dernières années. (...) La perte de la glace en Antarctique pourrait avoir des effets globaux dramatiques”, a-t-il alerté.
La fonte des glaces de la région engendrera une montée des eaux qui risque de rayer de la carte nombre de villes côtières et de petits Etats îliens.