-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
Les scientifiques n’étaient jusqu’à présent pas sûrs que dans ce cas de figure, quand deux étoiles tournent ensemble autour d’un centre de gravité, il soit possible que plusieurs planètes orbitent autour d’elles en même temps.
Les dispositions, interactions et différences de trajectoires en fonction de la position des planètes et de leurs étoiles font en effet qu’il est moins probable de trouver des planètes dans ce type de système.
Mais les scientifiques de l’université de San Diego ont réussi à observer plusieurs planètes, deux, peut-être même trois, autour de Kepler-47, une étoile de la taille du Soleil liée à une autre étoile trois fois plus petite. De la taille de Neptune, ces deux nouvelles planètes sont composées de gaz.
Outre cette découverte, les scientifiques californiens ont réalisé que la plus éloignée des deux planètes se trouvait dans la “zone habitable” de ce système planétaire: ni trop proche, ni trop loin des étoiles, elle se situe dans une zone tempérée où la vie pourrait exister.
“La moitié des étoiles que vous voyez la nuit dans le ciel sont des étoiles binaires”, affirme à l’AFP Jerome Orosz, astronome à San Diego. Donc “le fait que l’on puisse trouver des planètes dans leurs zones habitables signifie qu’il y a beaucoup plus d’endroits” potentiels pour une vie extraterrestre.