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Dans un message adressé à l’Assemblée générale de l’ONU, Ban reconnaît que les deux camps examinent le comportement des soldats israéliens d’un côté et des activistes palestiniens de l’autre, comme le demandait une résolution votée en novembre par l’assemblée.
Mais quant à savoir si ces enquêtes sont bien «indépendantes, crédibles et conformes aux normes internationales», il a choisi de réserver son jugement. «Aucun jugement ne peut être établi sur l’application de la résolution par les parties concernées», écrit le diplomate sud-coréen dans cette lettre, qui accompagne des documents remis par Israël et l’Autorité palestinienne sur leurs enquêtes respectives.
Plus de mille quatre cents Palestiniens, et treize Israéliens, ont péri durant l’opération Plomb durci, lancée par Tsahal dans la bande de Gaza.
Par ailleurs, une bombe a explosé jeudi près d’un convoi de la Croix-Rouge dans le nord de la Bande de Gaza, selon des représentants des services de sécurité du Hamas.
Anne Sophie Bonefeld du Comité international de la Croix-Rouge a déclaré qu’aucune personne n’avait été blessée dans la déflagration mais qu’un véhicule avait été endommagé.
La responsabilité de l’explosion n’a pas été revendiquée dans l’immédiat.
Des responsables des services de sécurité du Hamas ont précisé que l’engin explosif avait sauté au moment où quatre véhicules de la Croix-Rouge circulaient sur une route à environ un kilomètre au sud du point de passage frontalier d’Erez séparant la Bande de Gaza d’Israël.
Ils ont déclaré sous couvert de l’anonymat que la police recherchait une voiture qui a été vue en train de quitter les lieux.