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Le commandant de la junte, Salou Djibo, a nommé par décret un gouvernement de vingt membres, dont cinq officiers.
Le mois dernier, un porte-parole de la junte a affirmé qu’aucun membre de l’autorité militaire ou du gouvernement de transition ne serait autorisé à se présenter aux élections, dont la date n’a pas encore été fixée.
Le Premier ministre Mahamadou Danda, nommé le 23 février par la junte, conserve ce poste, selon le décret annoncé à la télévision publique. Ancien ministre de l’Information, Danda travaillait depuis une dizaine d’années dans l’administration.
Le ministère de la Défense a été confié à un militaire, le général Mamadou Ousseini. Les quatre autres officiers nommés occupent des postes de moindre importance.
La communauté internationale a condamné le coup d’Etat mais en privé, de nombreux diplomates disent y voir une opportunité de mettre fin à la crise politique déclenchée par la réforme constitutionnelle de l’année dernière, qui a permis à Tandja de proroger son mandat et de renforcer ses prérogatives sans en passer par les urnes.