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Issue d’une famille loin du milieu artistique, l’actrice britannique Gemma Arterton a livré, jeudi à Marrakech, un témoignage sur son parcours, ses inspirations et son amour pour le cinéma indépendant.
Invitée de la session "Conversation with" dans le cadre de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech, l'actrice est revenue sur ses débuts dans le théâtre, marqués par une prise de conscience de sa passion pour le cinéma.
"Ce n’est qu’à l'âge de 18 ans, après avoir été bouleversée par des films comme "Dancer in the Dark", que j’ai compris que le cinéma pouvait raconter des histoires profondes", a-t-elle confié.
C’est dans le théâtre que l’héroïne de "Tamara Drewe" a fait ses premiers pas. Dans ce sens, elle a souligné que "faire partie d’une troupe, créer et jouer ensemble est une expérience unique et remplie d’enthousiasme", ajoutant que son amour pour la scène continue d’influencer sa manière de travailler.
Elle a également exprimé sa profonde admiration pour les films indépendants qui mettent en avant "des personnages plus complexes, des histoires plus riches, et donnent un espace de liberté pour la création, notant qu’elle privilégie les projets où la collaboration et l’échange sont au centre de l'action.
Celle qui a collaboré avec des réalisateurs de renom comme Stephen Frears, a insisté sur l’importance de la préparation et de la nécessité de suivre son instinct dans ce métier. Elle a notamment évoqué son expérience d’apprentissage de la langue française pour son rôle dans "Gemma Bovary", qualifiant cette expérience de véritable défi enrichissant.
Connue pour sa sensibilité, Gemma Arterton a rappelé à quel point il était important pour elle de collaborer avec des équipes créatives, tout en faisant part de son admiration pour des grands acteurs comme Anthony Hopkins, considéré par elle comme une source d’inspiration.
Depuis plus de quinze ans, Gemma Arterton mène une carrière d’actrice au cinéma, à la télévision et au théâtre. Parmi ses apparitions au cinéma, elle a notamment joué dans Tamara Drewe (2010) de Stephen Frears, La Disparition d’Alice Creed (2009) de J Blakeson, The Voices (2014) de Marjane Satrapi, et pour le petit écran, dans les séries Black Narcissus (2020), Tess d’Urberville (2008) et tout dernièrement, The Critic (2023) d’Anand Tucker.
Plus récemment, elle a joué dans la série Funny Woman (2023), dont elle a assuré la production exécutive avec Rebel Park Productions.
Invitée de la session "Conversation with" dans le cadre de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech, l'actrice est revenue sur ses débuts dans le théâtre, marqués par une prise de conscience de sa passion pour le cinéma.
"Ce n’est qu’à l'âge de 18 ans, après avoir été bouleversée par des films comme "Dancer in the Dark", que j’ai compris que le cinéma pouvait raconter des histoires profondes", a-t-elle confié.
C’est dans le théâtre que l’héroïne de "Tamara Drewe" a fait ses premiers pas. Dans ce sens, elle a souligné que "faire partie d’une troupe, créer et jouer ensemble est une expérience unique et remplie d’enthousiasme", ajoutant que son amour pour la scène continue d’influencer sa manière de travailler.
Elle a également exprimé sa profonde admiration pour les films indépendants qui mettent en avant "des personnages plus complexes, des histoires plus riches, et donnent un espace de liberté pour la création, notant qu’elle privilégie les projets où la collaboration et l’échange sont au centre de l'action.
Celle qui a collaboré avec des réalisateurs de renom comme Stephen Frears, a insisté sur l’importance de la préparation et de la nécessité de suivre son instinct dans ce métier. Elle a notamment évoqué son expérience d’apprentissage de la langue française pour son rôle dans "Gemma Bovary", qualifiant cette expérience de véritable défi enrichissant.
Connue pour sa sensibilité, Gemma Arterton a rappelé à quel point il était important pour elle de collaborer avec des équipes créatives, tout en faisant part de son admiration pour des grands acteurs comme Anthony Hopkins, considéré par elle comme une source d’inspiration.
Depuis plus de quinze ans, Gemma Arterton mène une carrière d’actrice au cinéma, à la télévision et au théâtre. Parmi ses apparitions au cinéma, elle a notamment joué dans Tamara Drewe (2010) de Stephen Frears, La Disparition d’Alice Creed (2009) de J Blakeson, The Voices (2014) de Marjane Satrapi, et pour le petit écran, dans les séries Black Narcissus (2020), Tess d’Urberville (2008) et tout dernièrement, The Critic (2023) d’Anand Tucker.
Plus récemment, elle a joué dans la série Funny Woman (2023), dont elle a assuré la production exécutive avec Rebel Park Productions.