-
Covid-19: Un rapport d'élus américains soutient la thèse de la fuite d'un laboratoire
-
Accord Hamas-Fatah sur la formation d'un comité pour administrer Gaza après la guerre
-
Appels à la désescalade face à l'offensive rebelle en Syrie
-
Le régime syrien perd la ville d'Alep
-
L'Etat belge condamné pour le placement forcé d'enfants métis au Congo pendant la colonisation
Le couvre-feu avait été instauré après les violences et les pillages qui ont secoué du 3 au 6 septembre la ville, l’un des fiefs de l’opposant Pierre Mamboundou arrivé deuxième à l’élection présidentielle du 30 août, selon les résultats définitifs. Les troubles, qui ont fait trois morts d’après le gouvernement, au moins cinq selon l’opposition, avaient éclaté à l’annonce des résultats du scrutin donnant victorieux Ali Bongo Ondimba et contestés par la plupart des autres candidats. Ali Bongo, fils du défunt président Omar Bongo, a prêté serment à la mi-octobre.