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503 bacheliers ont été sélectionnés pour bénéficier de ces bourses qui devraient les aider à poursuivre leurs études supérieures au Maroc.
Selon une source du département communication de la fondation, en cette année 2009, 2635 bacheliers éligibles ont déposé leur candidature à la bourse Istihqaq. 25% d’entre eux, soit 646 étudiants, ont obtenu la mention « Très Bien », et 57% la mention « Bien ». Les bénéficiaires de ces bourses devront poursuivre leurs études au Maroc et recevront des bourses régionales d’une valeur de 30.000 Dh étalée sur trois années. Dans ce même cadre, 100 étudiants ont été sélectionnés pour obtenir des bourses nationales d’un montant de 76.000 DH étalé sur 5 ans.
Rappelons que depuis 2003, la Fondation octroie une bourse d’excellence aux meilleurs bacheliers enfants d’adhérents et projetant de poursuivre leurs études supérieures au Maroc.
De 100 boursiers par an au lancement de cette prestation, le nombre d’étudiants bénéficiaires est passé à 500 par an à l’occasion de la rentrée universitaire 2007 – 2008. Ainsi, après 6 années d’existence, l’effectif des « boursiers Istihqaq » a-t-il atteint 1449 (promotion 2009 – 2010 non comprise).
En 2009, et en raison du nombre assez important des bacheliers ayant obtenu des mentions « Bien », la commission de sélection qui s’est réunie le 29 octobre au siège de la Fondation a décidé de limiter l’éligibilité aux candidats ayant obtenu la mention « Très Bien ». Ainsi, sur les 646 candidats ayant la mention « Très Bien », les 100 meilleurs étudiants auront droit à la bourse nationale. Les bénéficiaires de la bourse nationale sont en majorité des bacheliers de Sciences expérimentales (68) et sciences mathématiques (27). Quant aux littéraires, il y a un seul bénéficiaire ayant obtenu une moyenne de 17,2. Il en est de même pour les bourses régionales. Le nombre de bénéficiaires littéraires se limite à 5, alors que celui des élèves scientifiques est de 380. Selon plusieurs adhérents de la fondation, la procédure de sélection doit être révisée. « Les membres du jury devront comprendre que les moyennes littéraires sont toujours basses en comparaison avec les scientifiques », déclare un adhérent.