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A l’issue de cette rencontre, M’hamed Fakhir, entraîneur des FAR, a fait savoir que “le match était solide et très tactique. Le jeu s’est concentré dans la plupart des temps au milieu du terrain, d’où les occasions de scorer étaient rares et l’équipe militaire n’en avait obtenues que trois mal exploitées, alors que l’adversaire en avait eues deux gâchées également”.
Et d’ajouter qu’”on a fini la première mi-temps sur un nul blanc mais positif pour notre équipe, du point de vue du rendement. Tout est possible pour le match retour à Rabat, qui s’annonce un peu plus disputé”.
A propos du nul blanc ayant sanctionné cette confrontation, l’entraîneur des FAR a tenu à préciser que “c’est un résultat trompeur et tout est possible pour le match retour qu’on doit obligatoirement remporter. On doit tirer la leçon de l’élimination du Raja Casablanca et du Moghreb Fès face aux équipes de Sfax et d’Espérance. Bien qu’ils avaient arraché des nuls à l’aller (0-0 à Sfax et 4-4 à Tunis), ils ont perdu au retour sur leurs terrains, ce que l’on doit donc éviter”.
Le seul obstacle devant l’équipe marocaine dans ce match était l’absence de certains éléments pour cause de blessure: “l’AS FAR jouait sans trois ou quatre joueurs essentiels en raison de la blessure. En plus, Jaouad Ouaddouch et Moustapha Allaoui, alors blessés, devaient jouer puisqu’on n’avait aucun choix que de les aligner dans cette rencontre”.
Fakhir a critiqué l’arbitrage de l’Egyptien Issam Abdelfattah “qui sifflait des fautes imaginaires et délivrait des cartes jaunes gratuites”.
Quant à Abdelhak Ben Chikha, entraîneur du Club Africain, il a indiqué que “les blessures ont mis à mal notre gestion de la rencontre. Nous avons fait trois changements dont deux pour blessures et continué le match avec 10 joueurs depuis la 60e minute après la blessure d’Al Asâad Ourtani dont le remplacement était impossible, les changements autorisés étant épuisés”. Et de surenchérir, “on a fini le match sur un nul et l reste devant nous un autre 90 minutes pour se ressaisir”.
“A Rabat, la pression sera sur l’AS FAR, qui reste l’une des grandes équipes comme le montre son histoire. Si l’on réussit à marquer à Rabat, le retour aura une autre face”, a conclu le coach tunisien.