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Une pièce de théâtre intitulée ‘’Risque’’ a été présentée vendredi soir par une troupe arménienne relevant de l’Institut d’Etat du théâtre et du cinéma d’Erevan (YSITC), dans le cadre de la 36ème édition du Festival international du théâtre universitaire de Casablanca (FITUC).
Cette pièce courte, seulement 35 minutes, évoque la complexité des relations humaines en perpétuel changement à travers l’histoire d’une famille Napolitaine. La pièce est une adaptation de l’œuvre éponyme d’Edouardo de Filippo (1900-1984) considéré comme l’un des plus importants dramaturges italiens du 20ème siècle, qui était également acteur-réalisateur, metteur en scène, scénariste et poète.
Bref, un artiste total. Mais son interprétation par cette troupe arménienne a été adaptée à la réalité du pays comme tient à le noter Arman, un des comédiens, qui relève que cette pièce est extrêmement émouvante et d’une tendresse bouleversante, portée par des personnages très attachants.
Dans une déclaration à la MAP, il ne cache pas la joie qu’il ressent en participant à ce festival ''de haute tenue sur le plan de la programmation'', selon lui. Cette 36 ème édition du FITUC, tenue sous le thème ‘’Théâtre et Folie’’, est marquée par la participation de troupes universitaires représentant l’Allemagne, l’Indonésie, la Colombie, l’Arménie, la Corée, l’Espagne et l’Egypte, outre le Maroc, représenté par des universités de Casablanca, Mohammedia et Benguérir, ainsi que par des étudiants de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle de Rabat.
Au programme également de ce festival, qui se prolonge jusqu'à dimanche prochain, des ateliers de formation pour les étudiants et les amateurs de théâtre, sur, entre autres, l’interprétation, l’improvisation, le corps et l’espace.
Cette pièce courte, seulement 35 minutes, évoque la complexité des relations humaines en perpétuel changement à travers l’histoire d’une famille Napolitaine. La pièce est une adaptation de l’œuvre éponyme d’Edouardo de Filippo (1900-1984) considéré comme l’un des plus importants dramaturges italiens du 20ème siècle, qui était également acteur-réalisateur, metteur en scène, scénariste et poète.
Bref, un artiste total. Mais son interprétation par cette troupe arménienne a été adaptée à la réalité du pays comme tient à le noter Arman, un des comédiens, qui relève que cette pièce est extrêmement émouvante et d’une tendresse bouleversante, portée par des personnages très attachants.
Dans une déclaration à la MAP, il ne cache pas la joie qu’il ressent en participant à ce festival ''de haute tenue sur le plan de la programmation'', selon lui. Cette 36 ème édition du FITUC, tenue sous le thème ‘’Théâtre et Folie’’, est marquée par la participation de troupes universitaires représentant l’Allemagne, l’Indonésie, la Colombie, l’Arménie, la Corée, l’Espagne et l’Egypte, outre le Maroc, représenté par des universités de Casablanca, Mohammedia et Benguérir, ainsi que par des étudiants de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle de Rabat.
Au programme également de ce festival, qui se prolonge jusqu'à dimanche prochain, des ateliers de formation pour les étudiants et les amateurs de théâtre, sur, entre autres, l’interprétation, l’improvisation, le corps et l’espace.
Bouillon de culture
Exposition collective
Le vernissage de l’exposition collective "Toucher la peinture" a eu lieu, vendredi à la galerie Kent de Tanger, en présence d'un parterre d'intellectuels et d'amateurs de l'art et de la créativité. Cette exposition, qui se poursuivra jusqu'au 15 septembre, donne à voir une quarantaine d'oeuvres de six artistes de renommée internationale, à savoir Fouad Bellamine, Sanae Arraqas, Ivan Montero, Salah Taibi, Abdellah El Haitout et Christophe Miralles, sur une idée d’Olivier Rachet et Fouad Bellamine.
Dans leur minimalisme synthétique, les oeuvres de Fouad Bellamine orientent la couleur vers un horizon qui rejoindrait le mystère d’une lumière, peut être divine. Le peintre espagnol Ivan Montero élève, quant à lui, le langage de l’abstraction à une dimension lyrique que des sculptures peintes permettent d’appréhender en trois dimensions, tandis que Salah Taibi et Christophe Miralles subvertissent le genre du portrait pour figurer des émotions indicibles, privilégiant pour l’un l’expressivité du geste, pour l’autre un graphisme tendant vers sa propre dissolution.
La suggestion figurale des toiles d’Abdellah El Haitout fait apparaître des motifs indiscernables qui se rapportent à sa propre histoire, alors que la narration autobiographique du travail de Sanae Arraqas rappelle des séquences cinématographiques associées aux thèmes de l’absence et de la perte. Dans une déclaration à la MAP, M. Bellamine a souligné que cette exposition constitue une plateforme de dialogue, d'échange d'opinions et de partage de visions sur la peinture au Maroc, en Espagne et en France, afin de s'ouvrir à l'autre et à sa culture. "Nous ne présentons pas un thème spécifique, mais plutôt diverses œuvres d'art, qu'il s'agisse de figuratif, d'abstrait ou d'autres styles", a-t-il fait savoir, soulignant l'importance de l'intérêt porté par les galeries d'art de Tanger aux créations des jeunes artistes, notamment les lauréats des écoles des beaux-arts. Il a relevé que l'exposition met l'accent sur la valeur artistique des œuvres d'art, une manière de raviver la mémoire des anciennes expositions qui étaient considérées comme des espaces de dialogue et d'interaction entre les artistes et le public.
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Dans leur minimalisme synthétique, les oeuvres de Fouad Bellamine orientent la couleur vers un horizon qui rejoindrait le mystère d’une lumière, peut être divine. Le peintre espagnol Ivan Montero élève, quant à lui, le langage de l’abstraction à une dimension lyrique que des sculptures peintes permettent d’appréhender en trois dimensions, tandis que Salah Taibi et Christophe Miralles subvertissent le genre du portrait pour figurer des émotions indicibles, privilégiant pour l’un l’expressivité du geste, pour l’autre un graphisme tendant vers sa propre dissolution.
La suggestion figurale des toiles d’Abdellah El Haitout fait apparaître des motifs indiscernables qui se rapportent à sa propre histoire, alors que la narration autobiographique du travail de Sanae Arraqas rappelle des séquences cinématographiques associées aux thèmes de l’absence et de la perte. Dans une déclaration à la MAP, M. Bellamine a souligné que cette exposition constitue une plateforme de dialogue, d'échange d'opinions et de partage de visions sur la peinture au Maroc, en Espagne et en France, afin de s'ouvrir à l'autre et à sa culture. "Nous ne présentons pas un thème spécifique, mais plutôt diverses œuvres d'art, qu'il s'agisse de figuratif, d'abstrait ou d'autres styles", a-t-il fait savoir, soulignant l'importance de l'intérêt porté par les galeries d'art de Tanger aux créations des jeunes artistes, notamment les lauréats des écoles des beaux-arts. Il a relevé que l'exposition met l'accent sur la valeur artistique des œuvres d'art, une manière de raviver la mémoire des anciennes expositions qui étaient considérées comme des espaces de dialogue et d'interaction entre les artistes et le public.