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Cet exercice, qui coïncide avec la commémoration de la Journée mondiale de l'environnement, s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre du plan d'urgence national (PUN), indique-t-on dans un communiqué du secrétariat d'Etat chargé de l'Eau et de l'Environnement.
L'exercice de simulation, organisé en collaboration avec les départements civils et militaires concernés, a pour objectifs de tester la capacité du Maroc à faire face à une éventuelle pollution marine accidentelle, renforcer les capacités nationales en la matière et évaluer le degré de coordination et l'efficacité des opérations de lutte, ajoute-t-on de même source. Cet exercice, auquel vont prendre part différents départements nationaux civils et militaires concernés, est basé sur un scénario de catastrophe simulant l'assistance à un pétrolier en difficulté suite à une hypothétique explosion à bord, générant des fuites d'hydrocarbures qui menaceraient les côtes marocaines, poursuit le communiqué.
Le déversement d'hydrocarbures sera simulé par la tourbe, matière organique biodégradable inoffensive, et le traitement de la pollution par les dispersants, qui sont des produits chimiques, sera simulé par de l'eau douce.
Des exercices similaires ont déjà été organisés en 2002 à Mohammédia, en 2004 à Nador, en 2006 à Agadir, et en 2008 à Nador, rappelle-t-on.
Le plan d'urgence national, institué par un décret promulgué en 1996 relatif à la préparation et à la lutte contre la pollution marine, prévoit l'organisation de cet exercice tous les deux ans.
Ce Plan constitue un outil permettant d'organiser l'intervention en mer et à terre en cas de pollution marine accidentelle par les hydrocarbures ou autres substances nocives et de répartir les tâches et les missions entre les différents intervenants, précise la même source.