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Le mis en cause a reconnu avoir convaincu ses victimes de lui verser une commission variant entre cinq et cinquante mille dirhams pour intercéder auprès de la société Al Omrane à Essaouira (ERAC avant) afin de leur permettre d’obtenir des lots. Il a toutefois avoué avoir bénéficié de la complicité d’un ex-employé de ladite société pour faciliter ses opérations de médiation douteuse.
Ses aveux, et les copies de reçus d’octroi des lots remis aux plaignants, ont poussé les services de police à convoquer et interroger Z.B, ex-responsable commercial de l’opérateur immobilier et accusé de complicité par A-S, M-G, ex- directeur de l’agence d’Essaouira, et CH-A, ex-secrétaire dans la même société. Les trois interpellés ont tous nié une quelconque relation avec cette affaire.
D’après les services de la police judiciaire, l’épouse du mis en cause, qui a été auditionnée dans le cadre de la même affaire, a confirmé que son mari recevait la visite de citoyens et clients présumés demandant sa médiation pour s’adjuger des lots.
A-S et son épouse, Z-B, M-G , CH-A et A-R, une intermédiaire impliquée dans cette affaire d’escroquerie ont tous été déférés devant le juge d’instruction qui a décidé de les poursuivre pour escroquerie.
Le principal accusé dans cette affaire pleine de rebondissements d’après les services sécuritaires, est aussi impliqué dans une affaire d’émission de chèques sans provision dont la valeur dépasse un million de dirhams.