-
Le Maroc plaide pour renforcer l’usage de l'IA dans l'enseignement
-
L'ouverture du SGG sur l'université à même de renforcer la connaissance du système juridique national
-
Sirha Lyon 2025 : Le Maroc en route pour le Bocuse d’or, les Coupes du monde de la pâtisserie et des traiteurs
-
La station de ski d'Oukaïmeden retrouve sa splendeur avec les premières chutes de neige
-
Dakhla : Rencontre sur la lutte contre la violence en milieu scolaire
Signé par le secrétaire d’Etat chargé de l’Eau et de l’Environnement, Abdelkébir Zahoud, et l’ambassadeur américain à Rabat, Samuel Kaplan, en présence du sous-secrétaire adjoint américain chargé de l’environnement et du développement durable, Daniel Reifsnyder, ce plan a notamment pour objectifs le renforcement institutionnel de la politique environnementale pour une application effective des lois environnementales, la conservation de la biodiversité et l’amélioration de la gestion des aires protégées et autres écosystèmes importants.
Le plan d’action, signé en marge de la réunion du groupe de travail maroco-américain sur la coopération environnementale, vise également l’amélioration de la performance environnementale du secteur privé, l’éducation environnementale, le renforcement de la participation du public aux processus de prise de décision et la promotion de la culture de la protection de l’environnement.
S’exprimant à cette occasion, M. Zahoud a indiqué que cette réunion intervient “à un moment où le Maroc connaît une dynamique sans précédent dans sa politique environnementale et de développement durable”.
“L’appel lancé par SM le Roi Mohammed VI, lors du discours du Trône (30 juillet dernier), pour l’élaboration d’un projet de Charte nationale globale de l’environnement, vient renforcer encore davantage les différentes mesures sociales, économiques et environnementales déjà entreprises””””, a-t-il souligné.
De son côté, l’ambassadeur américain à Rabat a indiqué que ce plan d’action renforce davantage le partenariat “exemplaire” entre Washington et Rabat, insistant sur la nécessité de protéger l’environnement et de préserver les ressources.
Pour sa part, M. Reifsnyder s’est dit “impressionné” par les progrès réalisés dans le cadre de ce groupe de travail et qui ont permis d’élargir et d’approfondir une coopération efficace sur les questions environnementales.
Ce plan d’action a été développé suite à la déclaration conjointe sur la coopération relative à l’environnement, négociée en même temps que l’accord de libre échange entre les deux pays.