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Dans une chronique publiée mardi dans le quotidien sportif "L'Equipe", Dugarry estime que c'était une erreur des Girondins de laisser Chamakh en fin de contrat avec un salaire de 80.000 euros "sans rapport avec ce qu'il apporte à son club".
Il faut signaler, dans ce contexte, que le salaire de l'international marocain a été plus que doublé et s'élève désormais à environ 200.000 euros.
Dans un autre article intitulé "La question Chamakh", le journal souligne que le départ du Marocain pour Arsenal "pourrait remettre les équilibres de Bordeaux en danger". Pour "L'Equipe", si un transfert à Arsenal venait à échouer, Blackburn, dont les émissaires étaient présents dimanche soir au stade Chaban-Delmas à Bordeaux, Sunderland et West Ham "seraient toujours à l'affût".
Sous le titre "L'imbroglio Chamakh continue", le journal "Le Parisien" estime, quant à lui, que le temps d'un retour en sélection du Maroc où il jouera un match amical contre le Congo, Marouane Chamakh "oubliera peut être l'interminable feuilleton de son vrai-faux transfert".
A trois semaines de la clôture du marché des transferts, son départ de Bordeaux reste d'actualité mais les transactions sont "au point mort", ajoute-il, faisant remarquer que le coach girondin, Laurent Blanc, qui connaît mieux que personne l'énorme importance de Chamakh dans son système de jeu, "refuserait désormais d'entendre parler de son départ, quel que soit le club, à moins d'une hypothétique offre mirobolante".
"Quand un joueur s'en va à cette période, c'est très difficile de le remplacer. Cela coûte cher et il ne reste pas beaucoup de temps", précise l'entraîneur des Girondins.