-
Le Maroc, un acteur clé du commerce et du développement en Afrique
-
El Hassan Lachguar lors de son passage dans l’émission : “Polémique” sur Chada TV La responsabilité de la hausse des prix incombe au gouvernement censé protéger le pouvoir d’achat des citoyens
-
Le transport public sous pression démographique et urbaine
-
Le Maroc exprime sa fierté d'accueillir la 6ème Conférence mondiale sur l’élimination du travail des enfants
Selon un communiqué du CCDH, rendu public vendredi, deux membres de la famille du défunt, accompagnés d’une délégation du CCDH, se sont déplacés à la ville Kelaat M’Gouna afin d’ériger la pierre tombale et se recueillir sur la tombe du défunt.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre des démarches poursuivies par le CCDH pour informer les familles concernées des résultats des analyses génétiques qui lui sont parvenus, afin qu’elles puissent faire leur deuil, suivant en cela les recommandations de l’Instance équité et réconciliation (IER) et la commission de suivi.
La victime M’Hamed Al Marakchi, né le 29 mai 1950 au Liban, de père marocain et de mère libanaise, a été arrêté en 1976 à son arrivée au Maroc, puis transféré dans plusieurs lieux de détention à Rabat, Agdez, Kalaat M’Gouna puis Ouarzazate où il s’est éteint et a été inhumé en 1992.
Les investigations de l’IER, durant sa période d’activité, ont permis de suivre le parcours de détention de la victime et identifier sa tombe avant d’en informer sa famille au Liban. Il s’en est suivi l’exhumation des restes du défunt pour effectuer des prélèvements osseux pour analyse aux fins de confirmer son identité.
La dépouille a été ensuite inhumée à Kalaat M’gouna conformément à la volonté de la famille.