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Initié en coopération avec le ministère de la Culture, du Conseil consultatif des Marocains à l'étranger, la Villa des arts de Rabat, la Faculté des lettres et des sciences humaines de Rabat, la Fondation Hanns Seidel et du Service culturel et de coopération de l'Ambassade de France à Rabat, ce colloque prend la forme d'une séquence de réappropriation collective de cet espace de tolérance que fut, après l'indépendance, le monastère de Toumliline, près de la ville d'Azrou, indique vendredi un communiqué des organisateurs.
L'objectif de ce séminaire, décliné sous plusieurs supports et pendant plusieurs jours, est de transmettre à la jeunesse marocaine la mémoire de cet espace de débat, de dialogue et d'ouverture, afin d'encourager les initiatives semblables à se multiplier au Maroc et ailleurs.
Le programme de cette manifestation, qui se tiendra à l'amphithéâtre El Idrissi de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Rabat, comprend des interventions d'éminentes personnalités et deux séquences dédiées, à savoir une exposition de photographies sous le thème "Toumliline 56/57" (le vendredi 09 octobre à 18h30 au siège des Archives du Maroc) et un vernissage de tableaux intitulé "Trois regards sur Gharbaoui à Toumliline" (le mercredi 14 octobre à la Villa des arts à Rabat).
Le projet "Réinventer Toumliline" se veut une contribution au mouvement collectif citoyen de résistance face à la montée de l'intolérance et d'idéologies extrémistes de tout bord. Il s'inscrit dans ce mouvement de défense de valeurs universelles, de production de discours et de projets alternatifs, ainsi que de transmission de valeurs de tolérance et de dialogue.