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"Et quand quelqu'un demandait ce que nous étions censés viser, il disait, +tout ce qui se trouve en face de vous+. Une quarantaine de manifestants avaient été tués ce jour-là", a raconté ce témoin. Le président syrien Bachar al-Assad accuse des rebelles armés d'être responsables du bain de sang, a indiqué HRW ajoutant que l'organisation avait recensé des cas où des forces anti-régime avaient attaqué des soldats. Mais, selon HRW, la plupart des manifestations sur lesquelles l'organisation a pu avoir des informations, étaient pacifiques, ajoutant que les commandants militaires syriens responsables d'abus contre des manifestants devront rendre des comptes. "Chacun des officiers identifiés dans ce rapport, jusqu'aux plus hauts niveaux du gouvernement syrien, devraient répondre de leurs crimes contre le peuple syrien", a indiqué Mme Neistat, pressant le Conseil de sécurité de l'ONU de saisir la Cour pénale internationale (CPI) de ces cas. La haut commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU, Navi Pillay, a donné mardi une estimation de plus de 5.000 personnes tuées depuis le début de la contestation en Syrie, le 15 mars. Elle a également pressé le Conseil de sécurité d'en saisir la CPI. La Syrie n'étant pas un Etat partie au Statut de Rome, qui régit la CPI, la Cour n'a pas compétence pour enquêter sur des allégations de crimes contre l'humanité commis en Syrie, une saisine par le Conseil de sécurité de l'ONU étant pour cela nécessaire, avait indiqué en août le procureur.