Le groupe musical argentin "Cuarteto Tafi" a fait vibrer dimanche le public de la scène de Chellah, aux rythmes de mélodies latines, à l’occasion de la 19ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde.
Dans une atmosphère sereine, l'audience était au rendez-vous avec un spectacle musical de l'Amérique latine, qui a réuni les mélomanes de l'art et de la musique célébrant la tolérance et la paix.
Le groupe musical argentin, qui se produit pour la première fois au Maroc et à Mawazine, l'un des festivals internationaux les plus importants célébrant l'art et la musique arabe et internationale, a enflammé le public par ses mélodies dansantes mêlant joie et paix. A cette occasion, Leonor Harispe a tenu à remercier le public présent, ajoutant que "c'est la première fois que nous visitons ce pays magnifique et attractif, d'un environnement ensoleillé et ravivant, et un peuple chaleureux grand passionné de la musique et de l'art".
La chanteuse argentine a interprété plusieurs chansons aux côtés de Ludovic Deny au bouzouki, Matthieu Guenez à la guitare et l’oud et Frédéric Theiler aux percussions et à la programmation électronique, en plus de plusieurs danses populaires argentines.
Le public était aussi au rendez-vous durant ce spectacle inédit avec un large répertoire du patrimoine artistique argentin, qui l'a emporté à la découverte de la voix rayonnante de Leonor et d'une culture riche.
Pour clôturer en apothéose, le groupe n'a pas manqué de chanter "Pachamamma", signifiant la terre et la mère, une chanson populaire interprétée par le groupe avec un rythme unique, puisqu'il s'agit d'une poésie engagée et d'un chant porteur de messages d’espoir traitant de questions sociales et humaines.
S.O
Dans une atmosphère sereine, l'audience était au rendez-vous avec un spectacle musical de l'Amérique latine, qui a réuni les mélomanes de l'art et de la musique célébrant la tolérance et la paix.
Le groupe musical argentin, qui se produit pour la première fois au Maroc et à Mawazine, l'un des festivals internationaux les plus importants célébrant l'art et la musique arabe et internationale, a enflammé le public par ses mélodies dansantes mêlant joie et paix. A cette occasion, Leonor Harispe a tenu à remercier le public présent, ajoutant que "c'est la première fois que nous visitons ce pays magnifique et attractif, d'un environnement ensoleillé et ravivant, et un peuple chaleureux grand passionné de la musique et de l'art".
La chanteuse argentine a interprété plusieurs chansons aux côtés de Ludovic Deny au bouzouki, Matthieu Guenez à la guitare et l’oud et Frédéric Theiler aux percussions et à la programmation électronique, en plus de plusieurs danses populaires argentines.
Le public était aussi au rendez-vous durant ce spectacle inédit avec un large répertoire du patrimoine artistique argentin, qui l'a emporté à la découverte de la voix rayonnante de Leonor et d'une culture riche.
Pour clôturer en apothéose, le groupe n'a pas manqué de chanter "Pachamamma", signifiant la terre et la mère, une chanson populaire interprétée par le groupe avec un rythme unique, puisqu'il s'agit d'une poésie engagée et d'un chant porteur de messages d’espoir traitant de questions sociales et humaines.
S.O