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Pour les "Men in Black", la création de ce "passeport" entraîne de fait une obligation de se faire vacciner et donc une restriction de plus aux libertés individuelles. Au Danemark, la vaccination est recommandée mais pas obligatoire. A la lumière des fumigènes, les manifestants, dont certains étaient cagoulés, ont défilé avec des flambeaux dans le centre de la capitale danoise en scandant "On en a assez!" ou "Liberté pour le Danemark". Des participants brandissaient un portrait de la cheffe du gouvernement danois, Mette Frederiksen, sous les traits du dictateur nord-coréen Kim Jong-un. Malgré la tonalité radicale de manifestants, l'essentiel du défilé, qui était autorisé, s'est déroulé dans le calme, avec un important encadrement de police. Il y a deux semaines, une manifestation similaire avait été marquée par l'incendie d'un mannequin à l'effigie de la Première ministre. Deux hommes sont depuis en détention, poursuivis pour "menaces" contre Mme Frederiksen. L'émergence du mouvement, même si les manifestations restent limitées à quelques centaines de personnes, suscite des craintes de radicalisation.
Commerces non essentiels, bars et restaurants sont fermés en ce moment dans le pays scandinaves de 5,8 millions d'habitants et le gouvernement a prolongé les restrictions jusqu'au 28 février au moins. Les écoles primaires pourront toutefois rouvrir lundi.