-
Une campagne aux forts relents d’argent sale
-
Les précisions de la DGSN et la DGST
-
Faire de l’arrondissement Rabat-Souissi un modèle du vivre ensemble
-
Plus d'un demi-siècle d'engagement pour la promotion de la démocratie locale
-
El Hassan Lachguar : Les habitants de l’arrondisement de Youssoufia sont tous les matins là pour Rabat mais Rabat n’est jamais là pour eux
En ce qui concerne l’habitat insalubre, le membre du Bureau politique de l’USFP, a annoncé que depuis son élection, il n’a ménagé aucun effort pour mettre un habitat décent à la disposition du citoyen de la commune de Charrat. Cela n’a pu se réaliser sans la mise en place d’une politique rationnelle basée sur deux axes principaux. Le premier porte sur le développement d’un centre moderne de la commune avec 3 lotissements à la fois et une zone industrielle sur une superficie de 20ha. Quant au second axe, il vise le développement du littoral par la création d’une station balnéaire constituant le prolongement du projet Bouznika-Bay. A cela s’ajoute la création d’un souk hebdomadaire avec un carrefour destiné aux agriculteurs de la région pour faciliter l’entrée et la vente de leurs produits, a-t-il précisé. « Depuis le dernier découpage territorial de la région dans un but plus politique qu’économique, nous n’avons ménagé aucun effort pour devenir les meilleurs dans la région et nous avons participé effectivement au développement de notre commune. Aujourd’hui, toutes les routes de la commune sont bitumées, ce qui a permis de désenclaver le monde rural. Nous prévoyons également le lancement prochain d’une zone industrielle pour les jeunes promoteurs », a-t-il expliqué. Tout en ajoutant que « cela constitue une grande motivation pour notre équipe de parachever les chantiers que nous avons commencés ensemble». Ahmed Zaidi, grand militant depuis 30 ans au sein de l’USFP, a été le plus jeune élu dans le milieu rural en 1977. Au cours de ses tournées dans la commune, il n’a cessé de dénoncer l’utilisation de l’argent sale dans la municipalité de Bouznika, notamment par un grand parti de la place.
Il estime que la situation est pire qu’auparavant, eu égard aux méthodes utilisées par les ennemis de la démocratie. Ainsi, les marchands de voix à la solde de certains élus arpentent au vu et au su de tous, les artères de la ville en quête de clients potentiels. Le candidat usfpéiste a critiqué les autorités pour leur passivité face à cette situation, au lieu de lutter contre ce fléau qui continue à contaminer le processus électoral au Maroc.
Pire, le président de la municipalité de Bouznika a même mobilisé des convois de voitures pour conduire des gens à des endroits plus éloignés. De plus, il menace les habitants, qui disposent de son autorisation illégale de construction dans des quartiers marginalisés, de la réouverture d’une procédure à leur encontre s’ils ne daignaient pas voter en sa faveur.
« Reviens dans 4 ou 6 ans si tu n’es pas pressé d’avoir ta carte d’électeur». Telle était la réponse d’un agent de ladite municipalité à un citoyen qui a opté pour un parti politique autre que celui du président. Ce que Zaidi ne cesse de combattre afin que l’administration soit réellement au service du citoyen.