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Rapplons que lors de la première audience qu’elle a tenue le 27 janvier, la Cour n’avait pas eu l’heur de reçevoir le Premier ministre ou la ministre de la Santé. Ce derniers ne s’étaient pas fait représenter et seul le représentant la partie plaignante était au tribunal, accompagné du fils de Mohammed Rmikki.
Durant cette première audience, la Cour avait décidé de remettre le dossier entre les mains d’un juge-rapporteur pour qu'il puisse convoquer, de nouveau les prévenus. Pour l'avocat de M. Rmikki, Me Khaled Akil, «la réponse des prévenus est donc un bon signe». Il se dit «satisfait», tout en précisant qu’il éprouvait une certaine «inquiétude» à propos du déroulement des prochaines phases du procès. Une longue bataille juridique se dessinant à l’horizon, il dit s’être bien préparé pour la mener à bon port et pour que justice soit faite.
Rappelons que l'affaire Rmikki remonte au 9 décembre 2009. Agé de 60 ans et diabétique, ce dernier souffre de paraplégie suite à sa vaccination contre la grippe A, dans un centre de santé situé à Mejjatya, Oulad Taleb, à Médiouna.