-
Les enjeux du développement durable en débat à Fès
-
OQTF pour se débarrasser de ses migrants : Un truc qui ne marche pas à tous les coups
-
L’Algérie, en grande pestiférée du Sahel
-
Un rapport britannique sur la sécurité alimentaire braque les projecteurs sur les relations agricoles avec le Maroc
-
Khadija Bendam nommée 1ère vice-présidente de l’INSC
Le premier intervenant, Abdellatif Lfarakh, directeur du CERED, a mis l’accent sur les aspects organisationnels et scientifiques du congrès. Il a expliqué que l’UIESP a pour objectif de rassembler les nouvelles études démographiques, passer en revue l’état des connaissances portant sur les problèmes de population au niveau mondial, et permettre aux scientifiques de présenter leur vision à des membres de l’administration et à des décideurs politiques. Il a également souligné que ce 26ème congrès est le premier organisé dans un pays africain et arabe, et que les organisateurs attendent la participation de 2000 personnes pour débattre d’un programme riche et varié lié aux questions de la population (migration, urbanisation, démographie historique, politiques de population…).
Il a noté que l’UIESP sera structuré en des séances plénières et de posters, des ateliers de formation, des réunions parallèles et des expositions.
Il a déclaré aussi que le Maroc va organiser en parallèle une manifestation scientifique sur le thème «Monde arabe : carrefour intercontinental entre transitions démographiques et mouvements de population ».
Après cette intervention, les participants ont eu droit à trois exposés techniques, le premier a été présenté par Abdelillal Zerou, chef de division à la Direction de la Statistique, sur les sources d’informations statistiques relatives à la population (recensements et enquêtes). Suivis par l’exposé de Saïd Azammam, chef de département au CERED, sur la dynamique démographique : concepts et mesures. Et à la fin, c’était le tour du chercheur libanais à l’INED en France, Youssef Courbage, sur la situation et perspectives de la population mondiale.