Le coup d'envoi de la 36ème édition du Festival international du théâtre universitaire de Casablanca (FITUC) a été donné, lundi au Complexe Moulay Rachid, en présence d'une pléiade de personnalités culturelles et académiques.
Placée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette édition s’est ouverte en présence du wali de la région de Casablanca-Settat, Mohamed Mhidia, et d'un public aussi diversifié que les troupes participantes provenant de plusieurs pays arabes, européens et latino-américains.
Intervenant à cette occasion, le président de l’Université Hassan II de Casablanca, Houssine Azeddoug, a affirmé que le festival offrira une programmation riche autour du rôle potentiel de cet art comme moyen d’expression dans les situations difficiles.
A la fois artistique et académique, le programme prévoit des présentations théâtrales de troupes universitaires marocaines et étrangères, des ateliers de formation destinés aux étudiants et aux passionnés de théâtre, ainsi que des rencontres et des colloques sur le thème de cette édition, a-t-il fait savoir, notant que le festival se veut une plateforme d’échange d’expériences qui contribuera au renforcement des compétences des troupes participantes.
Dans une allocution lue en son nom, le président du Conseil de la région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, a souligné que l’événement se tient cette année à un moment où la ville de Casablanca connaît d'importantes transformations dans tous les domaines, notamment dans les domaines de l'art et de la culture, affirmant l’engagement du Conseil à promouvoir ces deux secteurs vitaux qui représentent un enjeu stratégique pour le développement local.
Le festival constitue également un modèle de collaboration réussi entre les acteurs politiques, culturels et académiques, a-t il poursuivi, appelant à la multiplication des projets culturels en partenariat, notamment, avec les établissements universitaires, publics et privés, pour impliquer la jeunesse dans cette dynamique et faciliter son inclusion dans le domaine du travail.
De son côté, le directeur artistique du festival, Majid Seddati, a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que le FITUC fait partie des plus anciens festivals aux niveaux arabe et africain qui doit sa continuité, notamment, au soutien permanent des différents contributeurs, mettant en avant la particularité de cette édition qui a choisi d’aborder une thématique symbolique, à savoir la folie comme état de création spécial.
Le festival est considéré comme une école destinée principalement aux étudiants universitaires pour apprendre la pratique du théâtre en tant que forme d'art de divertissement, en interagissant avec des jeunes et des professionnels de diverses universités du monde entier autour des valeurs de tolérance, d'amour et de beauté.
Au niveau scientifique, la vice-doyenne de la Faculté des lettres et des sciences humaines relevant de l’Université Hassan II chargée des affaires pédagogiques et scientifiques, Samira Rguibi, a fait savoir, dans une déclaration semblable, qu’une conférence internationale est prévue pour discuter du rôle du théâtre universitaire dans le développement personnel ainsi que sa relation avec la folie artistique, notant que les conclusions de cette rencontre seront publiées dans le cadre d’un ouvrage pour promouvoir la recherche scientifique dans le théâtre.
Par ailleurs, le responsable de communication du festival, Ahmed Taniche, a déclaré que cet événement offre l’occasion de débattre des différentes présentations théâtrales lors des soirées du festival, qui se veulent un laboratoire d’échanges entre les troupes universitaires présentes, afin de découvrir les différents outils de travail et les multiples visions de la pratique théâtrale.
Comme à l’accoutumée, un vibrant hommage a été rendu lors de la cérémonie d’ouverture à nombre d'artistes pour leurs précieuses contributions dans la scène artistique, à savoir Abdelhak Zerouali, Az Elarab Kaghat et Fadila Anwar.
Placée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette édition s’est ouverte en présence du wali de la région de Casablanca-Settat, Mohamed Mhidia, et d'un public aussi diversifié que les troupes participantes provenant de plusieurs pays arabes, européens et latino-américains.
Intervenant à cette occasion, le président de l’Université Hassan II de Casablanca, Houssine Azeddoug, a affirmé que le festival offrira une programmation riche autour du rôle potentiel de cet art comme moyen d’expression dans les situations difficiles.
A la fois artistique et académique, le programme prévoit des présentations théâtrales de troupes universitaires marocaines et étrangères, des ateliers de formation destinés aux étudiants et aux passionnés de théâtre, ainsi que des rencontres et des colloques sur le thème de cette édition, a-t-il fait savoir, notant que le festival se veut une plateforme d’échange d’expériences qui contribuera au renforcement des compétences des troupes participantes.
Dans une allocution lue en son nom, le président du Conseil de la région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, a souligné que l’événement se tient cette année à un moment où la ville de Casablanca connaît d'importantes transformations dans tous les domaines, notamment dans les domaines de l'art et de la culture, affirmant l’engagement du Conseil à promouvoir ces deux secteurs vitaux qui représentent un enjeu stratégique pour le développement local.
Le festival constitue également un modèle de collaboration réussi entre les acteurs politiques, culturels et académiques, a-t il poursuivi, appelant à la multiplication des projets culturels en partenariat, notamment, avec les établissements universitaires, publics et privés, pour impliquer la jeunesse dans cette dynamique et faciliter son inclusion dans le domaine du travail.
De son côté, le directeur artistique du festival, Majid Seddati, a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que le FITUC fait partie des plus anciens festivals aux niveaux arabe et africain qui doit sa continuité, notamment, au soutien permanent des différents contributeurs, mettant en avant la particularité de cette édition qui a choisi d’aborder une thématique symbolique, à savoir la folie comme état de création spécial.
Le festival est considéré comme une école destinée principalement aux étudiants universitaires pour apprendre la pratique du théâtre en tant que forme d'art de divertissement, en interagissant avec des jeunes et des professionnels de diverses universités du monde entier autour des valeurs de tolérance, d'amour et de beauté.
Au niveau scientifique, la vice-doyenne de la Faculté des lettres et des sciences humaines relevant de l’Université Hassan II chargée des affaires pédagogiques et scientifiques, Samira Rguibi, a fait savoir, dans une déclaration semblable, qu’une conférence internationale est prévue pour discuter du rôle du théâtre universitaire dans le développement personnel ainsi que sa relation avec la folie artistique, notant que les conclusions de cette rencontre seront publiées dans le cadre d’un ouvrage pour promouvoir la recherche scientifique dans le théâtre.
Par ailleurs, le responsable de communication du festival, Ahmed Taniche, a déclaré que cet événement offre l’occasion de débattre des différentes présentations théâtrales lors des soirées du festival, qui se veulent un laboratoire d’échanges entre les troupes universitaires présentes, afin de découvrir les différents outils de travail et les multiples visions de la pratique théâtrale.
Comme à l’accoutumée, un vibrant hommage a été rendu lors de la cérémonie d’ouverture à nombre d'artistes pour leurs précieuses contributions dans la scène artistique, à savoir Abdelhak Zerouali, Az Elarab Kaghat et Fadila Anwar.