-
Les étudiants en médecine ne sont pas près de lâcher prise
-
Réquisitoire retentissant de Omar Hilale contre la politique déstabilisatrice du régime algérien dans la région du Sahel
-
Le ministère répond aux revendications des étudiants en médecine pour rétablir la normalité académique
-
SM le Roi félicite le Président chinois à l’occasion de la fête nationale de son pays
-
Synthèse du rapport annuel du CSEFRS: Bilan et perspectives de l’action du Conseil en 2023
En effet, il a loué une villa d’un "ami politique" à 50.000 dirhams pour y installer son bureau. Un nouveau buzz … un nouveau scandale !
Ainsi depuis quelques jours, une vidéo, postée sur la Toile par un élu à la commune de Goulmima, révèle cette histoire scandaleuse.
Pourquoi donc un tel scandale? C’est simple. Depuis justement quelques années, les militants du PJD lançaient des critiques acerbes contre l’ancien gouverneur de la province d’Errachidia pour avoir loué une villa à 30.000 DH. On évoquait un « truc louche » dans l’affaire. La villa ne valait pourtant pas ce prix. Toutes les administrations publiques louant des villas payent des tarifs de location qui dépassent quelque peu le tarif normal, mais les 50 000 DH en question frisent l’indécence. L’on comprend mieux ainsi si l’on connaît que ladite villa n’est que la propriété d’un parlementaire, et membre d’un parti allié du PJD ! C’est purement et simplement de la rente politique… c’est de la fraude… c’est immoral… c’est même indigne d’un parti qui prône la lutte contre la corruption.
La situation est telle que les militants du PJD ont tous avalé leurs langues. Mais la société civile s’indigne et dénonce ce « début rentier» du président de la région. Le trésorier provincial, lui, n’en revient pas et refuse de valider la transaction, selon le modérateur d’un site électronique de la région. Lahbib Choubani, empêtré dans ce scandale, oublie simplement ou feint d’ignorer que dans sa région, il y a bien une présidente de commune qui s’appelle Roquia Kacem et également présidente de la collectivité territoriale d’Afra, dans la province de Zagora. Qu’il le sache ou non, la présidente représente un parti de l’opposition en l’occurrence l’USFP, alors que lui mène la politique de l’autruche. Le héros du feuilleton « couple gouvernemental » continue de défrayer la chronique.