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Pire, ledit député a choisi de saisir la justice prétextant que sa carrière aurait subi une attaque de la part de la présidente de la commune Meryem Balghiti, son adjointe Khadija Bribak, la conseillère Aziza Achkour et quelques ouvriers dont certains d’entre eux auraient été empêchés de poursuivre librement leur travail. Il les a accusés également d’atteinte à autrui et menace.
Pour les personnes poursuivies dans cette affaire, ledit député les a pernicieusement choisies. Il s’agit de 4 conseillères ittihadies et de 17 habitants du douar qui ont été condamnés à différentes peines avec sursis. Ils avaient manifesté aux côtés des habitants du douar de manière pacifique devant les carrières pour dénoncer les dégâts que subit la région et leurs impacts sur la population.
Pour faire la lumière sur cette affaire, Meryem Balghiti a tenu à rappeler les faits et leur chronologie qui remontent au 16 septembre 2011. Tout en indiquant que c’est un dossier qui a été monté de toutes pièces, puisqu’on a fait appel à des témoins qui n’avaient pas assisté à cette soi-disant attaque contre la carrière, elle a tenu à affirmer que cette affaire s’inscrit dans le cadre de la lutte menée contre toute action politique noble. “Ce que nous demandons au tribunal, c’est de nous rendre justice et d’étudier avec soin ce dossier, car il est anormal que la victime soit considérée comme coupable et que le plaignant soit mis en cause”, a-t-elle lancé. Et de poursuivre que ladite société a privé cette commune pauvre d’énormes sommes d’argent et a nui à la santé des habitants en faisant fi de la protection de l’environnement. Toutes les autres interventions ont qualifié ce dossier de fabriqué et démontré, preuves à l’appui, que toutes les données ont été falsifiées, et du coup justice devrait être rendue.