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Mise en lumière du rôle de la littérature féminine en tant que vecteur de transformation sociale
La troisième édition du Festival du livre africain de Marrakech (FLAM) a clôturé ses activités, dimanche soir, au Centre culturel "Les Etoiles Jamaa El Fna", avec la participation d'un parterre d’écrivains et d’intellectuels marocains et étrangers.
Cet événement culturel, organisé du 30 janvier au 02 février à la Cité Ocre, a été l'occasion de mettre en avant le rayonnement culturel et artistique de l'Afrique à travers des discussions riches et des événements variés.
L’édition de cette année a particulièrement centré les voix des femmes en Afrique et les nombreuses façons dont elles se reflètent au sein de la littérature mondiale, avec la participation de la grande écrivaine et icône littéraire Ananda Devi, aux côtés de l’ancienne ministre de la Justice française et militante pour les droits de l’Homme, Christiane Taubira, qui a partagé son engagement social et politique ainsi que sa passion pour la littérature.
Le programme varié de cette édition a inclus une série de panels et tables rondes sur une variété de sujets, notamment "la mémoire, l'identité africaine et la transmission culturelle", "la littérature féminine en tant que mécanisme de transformation sociale", "les enjeux et les défis du mouvement féministe africain", ainsi que des séances de dédicaces et signatures de plusieurs nouvelles publications.
Le festival a également présenté une exposition de l'artiste haïtienne Marie-Denise Douyon, ainsi que des cafés littéraires, des masterclass et des soirées, avec un accent particulier sur la jeunesse.
La 3ème édition du FLAM a été "une nouvelle édition réussie à plusieurs niveaux, notamment par la qualité des intervenants et des thèmes abordés", a indiqué le délégué général du festival, Younès Ajarraï, dans une déclaration à la MAP, notant que le festival a su s'imposer à l'échelle nationale, continentale et internationale.
Il a affirmé que le festival a connu une large participation internationale, avec des participants de différents pays et continents, ce qui a renforcé la dimension internationale du festival et a fourni un espace de discussion sur les questions de littérature et de culture sur le continent.
Le programme du festival a accordé cette année une attention particulière à la jeunesse, à travers l'organisation d'ateliers d'écriture, de formations et de rencontres littéraires dans les écoles et universités partenaires, afin d'impliquer les jeunes dans le dynamisme culturel que le festival cherche à consolider, a-t-il ajouté.
La clôture de l'événement a été marquée par la remise du Prix littéraire des lycéens de Marrakech, qui vise à encourager la lecture et l'écriture chez les jeunes et à promouvoir le rôle de la littérature dans le développement de leur conscience culturelle.
Le prix vise à mettre en exergue l'engagement social du FLAM à partager ses connaissances et à les transmettre aux jeunes générations, dans le cadre d'une vision globale qui vise à promouvoir l'activité culturelle et intellectuelle chez les jeunes.
A cet égard, l'écrivaine et journaliste Myriam Jebbor, lauréate du Prix littéraire des lycéens de Marrakech pour son roman "Trahison", a exprimé sa joie de remporter ce prix, estimant qu'il représente pour elle un grand encouragement et une motivation pour continuer à écrire, d'autant plus qu'il émane de jeunes qui ont montré une passion pour la lecture et l'interaction avec la littérature.
Dans une déclaration à la MAP, elle a fait l'éloge des rencontres réalisées durant le festival avec ses jeunes lecteurs, où elle a senti leur grande curiosité culturelle, leur ouverture intellectuelle et leurs questions profondes, ce qui a fait du festival une expérience "très riche et réciproque".
Véritable rendez-vous rassemblant des écrivains, des penseurs et des intellectuels d’Afrique et de ses diasporas, le FLAM a été fondé par Mahi Binebine (écrivain et artiste plasticien), Fatimata Wane-Sagna (journaliste), Hanane Essaydi (universitaire) et Younès Ajarraï (entrepreneur culturel).
Porté par l’association "WE ART AFRICA//NS", le FLAM se veut une célébration éloquente de la littérature et de la culture africaines, qui vise à contribuer au rayonnement culturel et artistique du continent tout en mettant en lumière la richesse de ses littératures et de ses arts.
Cet événement culturel, organisé du 30 janvier au 02 février à la Cité Ocre, a été l'occasion de mettre en avant le rayonnement culturel et artistique de l'Afrique à travers des discussions riches et des événements variés.
L’édition de cette année a particulièrement centré les voix des femmes en Afrique et les nombreuses façons dont elles se reflètent au sein de la littérature mondiale, avec la participation de la grande écrivaine et icône littéraire Ananda Devi, aux côtés de l’ancienne ministre de la Justice française et militante pour les droits de l’Homme, Christiane Taubira, qui a partagé son engagement social et politique ainsi que sa passion pour la littérature.
Le programme varié de cette édition a inclus une série de panels et tables rondes sur une variété de sujets, notamment "la mémoire, l'identité africaine et la transmission culturelle", "la littérature féminine en tant que mécanisme de transformation sociale", "les enjeux et les défis du mouvement féministe africain", ainsi que des séances de dédicaces et signatures de plusieurs nouvelles publications.
Le festival a également présenté une exposition de l'artiste haïtienne Marie-Denise Douyon, ainsi que des cafés littéraires, des masterclass et des soirées, avec un accent particulier sur la jeunesse.
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A cet égard, l'écrivaine et journaliste Myriam Jebbor, lauréate du Prix littéraire des lycéens de Marrakech pour son roman "Trahison", a exprimé sa joie de remporter ce prix, estimant qu'il représente pour elle un grand encouragement et une motivation pour continuer à écrire, d'autant plus qu'il émane de jeunes qui ont montré une passion pour la lecture et l'interaction avec la littérature.
Dans une déclaration à la MAP, elle a fait l'éloge des rencontres réalisées durant le festival avec ses jeunes lecteurs, où elle a senti leur grande curiosité culturelle, leur ouverture intellectuelle et leurs questions profondes, ce qui a fait du festival une expérience "très riche et réciproque".
Véritable rendez-vous rassemblant des écrivains, des penseurs et des intellectuels d’Afrique et de ses diasporas, le FLAM a été fondé par Mahi Binebine (écrivain et artiste plasticien), Fatimata Wane-Sagna (journaliste), Hanane Essaydi (universitaire) et Younès Ajarraï (entrepreneur culturel).
Porté par l’association "WE ART AFRICA//NS", le FLAM se veut une célébration éloquente de la littérature et de la culture africaines, qui vise à contribuer au rayonnement culturel et artistique du continent tout en mettant en lumière la richesse de ses littératures et de ses arts.