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Au match aller, il y a une semaine à Séville, les Andalous avaient pourtant pris une belle option pour remporter le trophée avec une victoire (3-1) contre un Barça alors rajeuni et privé de tous ses champions du monde.
Mais pour cette seconde manche, Pep Guardiola l'entraîneur barcelonais a aligné une équipe infiniment plus compétitive avec la plupart de ses titulaires habituels. Seul le capitaine Puyol était absent, tandis que les héros du Mondial-2010, le milieu Iniesta et l'attaquant Villa, recruté cet été, sont sortis du banc pour faire une première apparition remarquée.
Mais une fois de plus, comme il en a pris l'habitude depuis quelques saisons, Lionel Messi a été l'homme providentiel des Blaugrana, en marquant trois buts qui ont sonné le glas des espoirs sévillans.
Le premier est intervenu à la 24e, sur un classique du genre catalan, avec une passe en profondeur millimétrée du stratège Xavi et la conclusion facile de l'Argentin.
Peu avant la mi-temps (44), sur un centre d'Alves, Messi a conclu du droit une belle action collective, avant de réaliser le coup du chapeau en fin de match (90), bien servi par Iniesta qui avait combiné avec Villa.
L'ancien buteur de Valence - rentré à la 57e à la place d'un Pedro décisif sur un slalom entre plusieurs défenseurs conclu par un centre-tir dévié dans son but par Konko (14) aurait pu marquer par deux fois. Mais il s'est surtout montré en jambes et très à l'aise avec le style de jeu barcelonais.
Les adversaires du Barça en Liga et en Ligue des champions sont prévenus.