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Le stade de Radès dans la banlieue tunisoise sera ce samedi à partir de 14 heures GMT le théâtre de la finale de la Super Coupe d’Afrique. Pour la 20ème édition, le choc sera tuniso-marcocain avec l’Espérance, vainqueur de la Ligue des champions, et le MAS, lauréat de la Coupe de la CAF.
Un titre honorifique, certes, mais qui reste convoité par les clubs du continent. Pour les équipes marocaines, c’est une épreuve qui ne leur réussit guère du fait que seul le Raja fait exception après avoir brandi ce trophée en 1999 aux dépens de la formation ivoirienne de l’Africa Sport.
Le Moghreb de Fès réussira-t-il à chasser cette guigne et jouer la vilaine surprise du côté du stade olympique de Radès? En tout cas, le moral est au beau fixe et tout le groupe se dit déterminé à réussir de nouveau cette sortie africaine aux couleurs maghrébines. A commencer par le coach Rachid Taoussi qui a fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP que «les joueurs du MAS devront étaler tout le savoir dont ils ont fait preuve tout au long des phases de la Coupe de la CAF, remportée avec brio, pour détrôner la coriace équipe tunisienne au palmarès éloquent». Et d’ajouter: «La formation du Moghreb de Fès, avide de titres, est fin prête pour hisser haut les couleurs nationales et mouiller le maillot lors de ce match». Ce dernier sera officié par un trio d’arbitrage sud-africain, conduit par le referee sud-africain Daniel Bennett, qui avait sifflé le dernier Maroc-Tuinsie pour le compte du premier tour de la CAN 2012, rencontre soldée en faveur des Tunisiens (1-2).
Pourvu que les choses se passent autrement lors de cette explication, même si sur le papier les pronostics penchent largement en faveur de l’Espérance, écurie qui regorge d’éléments capés et qui se veut comme une véritable bête noire pour les clubs du cru dont la dernière victime n’est autre que le Wydad de Casablanca qu’il l’avait battu en finale de la Ligue des champions.
Sauf que pour cette confrontation disputée au finish, le MAS ne ménagera certainement aucun effort pour jouer à fond ses chances, sans se soucier pour autant qu’il se produit dans un stade acquis à l’Espérance, du fait que les autorités tunisiennes ont donné leur accord à ce que cette rencontre se déroule en présence du public dont le nombre a été limité à 15.000. Au club fassi, qui pourra compter sur l’ensemble de son effectif excepté Mohamed Berrabeh blessé, de garnir son palmarès par un deuxième titre africain après la Coupe de la CAF gagnée au détriment d’une formation tunisoise, le Club Africain.
Il convient de signaler en dernier lieu que le record de victoires en Super Coupe d’Afrique est détenu par l’équipe égyptienne d’Al Ahly avec quatre sacres, devant une autre formation cairote, le Zamalek (3), au moment où les Nigérians d’Enyimba, les Tunisiens de l’Etoile du Sahel et les Congolais de TP Mazembe comptent deux trophées chacun. Sachant que Mazembe est le tenant du titre après avoir surclassé à Lumubashi le FUS de Rabat.
Un titre honorifique, certes, mais qui reste convoité par les clubs du continent. Pour les équipes marocaines, c’est une épreuve qui ne leur réussit guère du fait que seul le Raja fait exception après avoir brandi ce trophée en 1999 aux dépens de la formation ivoirienne de l’Africa Sport.
Le Moghreb de Fès réussira-t-il à chasser cette guigne et jouer la vilaine surprise du côté du stade olympique de Radès? En tout cas, le moral est au beau fixe et tout le groupe se dit déterminé à réussir de nouveau cette sortie africaine aux couleurs maghrébines. A commencer par le coach Rachid Taoussi qui a fait savoir dans une déclaration rapportée par la MAP que «les joueurs du MAS devront étaler tout le savoir dont ils ont fait preuve tout au long des phases de la Coupe de la CAF, remportée avec brio, pour détrôner la coriace équipe tunisienne au palmarès éloquent». Et d’ajouter: «La formation du Moghreb de Fès, avide de titres, est fin prête pour hisser haut les couleurs nationales et mouiller le maillot lors de ce match». Ce dernier sera officié par un trio d’arbitrage sud-africain, conduit par le referee sud-africain Daniel Bennett, qui avait sifflé le dernier Maroc-Tuinsie pour le compte du premier tour de la CAN 2012, rencontre soldée en faveur des Tunisiens (1-2).
Pourvu que les choses se passent autrement lors de cette explication, même si sur le papier les pronostics penchent largement en faveur de l’Espérance, écurie qui regorge d’éléments capés et qui se veut comme une véritable bête noire pour les clubs du cru dont la dernière victime n’est autre que le Wydad de Casablanca qu’il l’avait battu en finale de la Ligue des champions.
Sauf que pour cette confrontation disputée au finish, le MAS ne ménagera certainement aucun effort pour jouer à fond ses chances, sans se soucier pour autant qu’il se produit dans un stade acquis à l’Espérance, du fait que les autorités tunisiennes ont donné leur accord à ce que cette rencontre se déroule en présence du public dont le nombre a été limité à 15.000. Au club fassi, qui pourra compter sur l’ensemble de son effectif excepté Mohamed Berrabeh blessé, de garnir son palmarès par un deuxième titre africain après la Coupe de la CAF gagnée au détriment d’une formation tunisoise, le Club Africain.
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Le CHAN reporté à août 2025
