-
Casablanca rejoint le réseau mondial C40 des villes engagées dans des actions climatiques
-
Débat à Salé sur l'importance de la loi sur les peines alternatives dans le système pénal national
-
Clôture à Fès des travaux de la 6ème session ordinaire du Conseil supérieur de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains
-
Une conférence à Marrakech explore le rôle des instances de gouvernance dans la protection des droits et libertés
-
Célébration à Tanger du centenaire de l’adoption de la législation régissant la profession d’avocat au Maroc
Elle en a fait part de son rejet, via un communiqué de la délégation syndicale, à la suite de la tentative de syndicats notamment l’un d’eux hostiles à l’intégrité territoriale du Maroc, de tenir une rencontre sur « les droits syndicaux et humains au Maroc ». Cette rencontre, qui devait se tenir au siège de l'OIT, a été avortée donc par les représentants des centrales syndicales marocaines en signe de protestation contre son caractère politique et anti-marocain.
Devant l’insistance de la délégation marocaine à propos de l’illégalité de cette réunion qui n’avait d’objectif que de valider les mensonges véhiculés par le polisario et ceux qui soutiennent leur thèse séparatiste, les organisateurs ont annulé cette rencontre et prié tout le monde de quitter la salle.
Dans son communiqué commun, la délégation syndicale marocaine a souligné que le débat sur les droits syndicaux et humains suppose l'existence d'organisations syndicales, des travailleurs syndiqués et un Etat qui dispose de toutes les attributions nécessaires et qui siège à l’ONU. De ce fait, la tenue de cette rencontre en présence d'un syndicat fictif, non accrédité et n'appartenant pas à un pays membre de l'OIT contredit les principes, les objectifs de l’OIT et ne respecte pas la charte de cette organisation mondiale.
Par ailleurs, les syndicalistes marocains présents à la conférence ont également réaffirmé que la question des libertés syndicales, leur protection, leur élargissement, constituent de manière permanente une constante dans les orientations et les programmes d'action du mouvement syndical marocain.
Tout en déclarant son attachement aux principes et objectifs de l'OIT relatifs aux libertés syndicales et aux droits humains, la délégation marocaine a exprimé sa pleine disposition à recevoir toute organisation syndicale souhaitant prendre connaissance de la situation syndicale et des droits de l'Homme au Maroc, conclut le communiqué.