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Par ailleurs, le Groupe socialiste a passé en revue l'évolution de la situation politique dans la région arabe marquée par un processus politique favorable à la liberté, la dignité, la justice sociale et la démocratie. La nouvelle dynamique politique déclenchée au Maroc par le Mouvement du 20 février a été aussi à l'ordre du jour.
Le Groupe socialiste s'est arrêté également sur le discours Royal du 9 mars qui a lancé le chantier des réformes constitutionnelles et a ouvert de nouvelles perspectives pour édifier un Etat de droit, basé sur la séparation et l'équilibre des pouvoirs ainsi que sur le respect des libertés publiques et individuelles, des droits de l'Homme et de la parité hommes-femmes.
Et après avoir débattu et évalué le mémorandum du parti concernant les réformes constitutionnelles et les modalités d'engager un débat public sur cette question, le Groupe a examiné les réformes politiques relatives à la régionalisation, au Code électoral, au mode de scrutin, au découpage électoral et à l'ensemble des mesures d'accompagnement nécessaires pour redonner confiance et booster la dynamique de la réforme.
Le Groupe déclare avoir été surpris d'entendre certains propos concernant les réformes constitutionnelles émanant de certaines parties notamment le Conseil des oulémas qui n'est pas habilité à donner son avis sur des questions qui ne touchent pas au champ religieux.
Le Groupe a dénoncé aussi la déclaration de l'un des membres de la Commission chargée de la révision de la Constitution, moralement assujettie à l'obligation de réserve, à la neutralité et au respect des partis politiques qui sont considérés comme la partie prenante essentielle des réformes et le soutien incontournable de tout processus démocratique.